C’est la scène à laquelle a assisté un dakarois qui en est sorti abattu. On est le jeudi 13 janvier. Vers 12 h, à quelques jets de pierres du centre commercial Touba Sandaga, deux jeunes « boudiouman » ont montré qu’ils n’en ont rien à cirer de la loi.
Le premier sort de la poche de son pantalon une seringue et tire le bras du deuxième qui semble être préparé à quelque chose. Son « médecin » plante l’aiguille de la seringue dans une bouteille contenant un liquide incolore, puis tape sur l’avant bras de son « patient » pour chercher un bon emplacement. Où faire l’injection. Il sort un morceau et attache l’avant bras de son ami et lui injecte le liquide que tous les badauds qui ont suivi la scène avec stupéfaction se sont résolus à avancer avec presque une certitude déconcertante que c’était de la drogue. « De l’héroïne ! », s’exclament les « connaisseurs ».
Eux, semblaient bien dans leur peau après avoir pris leurs doses. Matière à donner des vertiges aux plus faibles. Mais aussi de l’information à qui de droit pour que la capitale soit assainie. Comme le dit l’adage « Le diable est souvent dans les détails. » On les compterait du bout des doigts ceux qui à Dakar pouvaient soupçonner un boudiouman dans de tels réflexes. Attention sur tout ce qui bouge !
Le premier sort de la poche de son pantalon une seringue et tire le bras du deuxième qui semble être préparé à quelque chose. Son « médecin » plante l’aiguille de la seringue dans une bouteille contenant un liquide incolore, puis tape sur l’avant bras de son « patient » pour chercher un bon emplacement. Où faire l’injection. Il sort un morceau et attache l’avant bras de son ami et lui injecte le liquide que tous les badauds qui ont suivi la scène avec stupéfaction se sont résolus à avancer avec presque une certitude déconcertante que c’était de la drogue. « De l’héroïne ! », s’exclament les « connaisseurs ».
Eux, semblaient bien dans leur peau après avoir pris leurs doses. Matière à donner des vertiges aux plus faibles. Mais aussi de l’information à qui de droit pour que la capitale soit assainie. Comme le dit l’adage « Le diable est souvent dans les détails. » On les compterait du bout des doigts ceux qui à Dakar pouvaient soupçonner un boudiouman dans de tels réflexes. Attention sur tout ce qui bouge !