La tension est toujours perceptible à Sangalkam, au regard de la présence massive des forces de l’ordre qui ont fini de mettre la localité en état de siège. La brigade de Sangalkam et la devanture de la sous préfecture sont noires de gendarmes, armés jusqu’aux dents comme si le meurtre de Malick Bâ ne suffit pas pour en découdre avec les populations civiles.
Ces dernières, de leur côté, promettent l’enfer à toute autorité communale ou étatique qui oserait se présenter au domicile de Malick Bâ pour présenter des condoléances. Une mise en garde adressée surtout au président de la délégation spéciale, Aly Khoudia Diaw, qui avait promis de sacrifier à cette tradition musulmane et sénégalaise. Mais également au sous préfet. Deux personnes déjà déclarées persona non grata.
Aussi, les Sangalkamois exigent-ils la libération des jeunes arrêtés ainsi que le chef de village, Soukar Diouf, qui est à la Caserne Samba Diéry Diallo pour les besoins de l’ enquête.
La famille du défunt Malick Bâ exige la lumière sur cette affaire. Elle demande à la justice de trancher. Elle envisage de constituer un pool d’avocats pour la défendre. La Rencontre africaine de défense des droits de l’Homme (Raddho) ainsi que la Ligue africaine des droits de l’Homme demandent la fin de l’impunité au Sénégal. Elles ont, elles aussi, exigé l’ouverture d’une enquête.
De son côté, l’ex-Président de la communauté rurale de Sangalkam, Oumar Guèye, annonce dans une conférence de presse une plainte contre l’Etat du Sénégal, le seul responsable de cette situation. Il révèle également que les collectivités locales concernées par ce projet de découpage comptent réunir leurs forces pour attaque ledit découpage.
Ferloo.com
Ces dernières, de leur côté, promettent l’enfer à toute autorité communale ou étatique qui oserait se présenter au domicile de Malick Bâ pour présenter des condoléances. Une mise en garde adressée surtout au président de la délégation spéciale, Aly Khoudia Diaw, qui avait promis de sacrifier à cette tradition musulmane et sénégalaise. Mais également au sous préfet. Deux personnes déjà déclarées persona non grata.
Aussi, les Sangalkamois exigent-ils la libération des jeunes arrêtés ainsi que le chef de village, Soukar Diouf, qui est à la Caserne Samba Diéry Diallo pour les besoins de l’ enquête.
La famille du défunt Malick Bâ exige la lumière sur cette affaire. Elle demande à la justice de trancher. Elle envisage de constituer un pool d’avocats pour la défendre. La Rencontre africaine de défense des droits de l’Homme (Raddho) ainsi que la Ligue africaine des droits de l’Homme demandent la fin de l’impunité au Sénégal. Elles ont, elles aussi, exigé l’ouverture d’une enquête.
De son côté, l’ex-Président de la communauté rurale de Sangalkam, Oumar Guèye, annonce dans une conférence de presse une plainte contre l’Etat du Sénégal, le seul responsable de cette situation. Il révèle également que les collectivités locales concernées par ce projet de découpage comptent réunir leurs forces pour attaque ledit découpage.
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