Il prenait part à la rencontre du Groupe Consultatif technique des urgences et à la table-ronde sur la gestion des situations d’urgence sanitaire de l’OMS, ouvertes mardi, à Pointe Sarène (Mbour, Ouest).
Selon lui, ‘’ 85% des urgences sont liées à des maladies et les 20 % sont liées aux catastrophes naturelles” ou des phénomènes causés par l’homme, a ajouté l’officiel.
Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Ibrahima Sy a dit attendre de cette rencontre, ‘’des recommandations fortes, réalistes, innovantes et mesurables’’.
‘’Quand on parle aujourd’hui des questions d’urgence sanitaire en Afrique, la question qui se pose, c’est est-ce que nos systèmes de santé sont très bien préparés, est-ce que nos personnels de santé sont bien sensibilisés par rapport à cette question, pour réagir à temps’’, a dit Ibrahima Sy.
Selon lui, “la question des urgences sanitaires est souvent gérée à un niveau central, alors qu’aujourd’hui, quand on parle d’urgence, la riposte doit se faire au niveau local’’.
”On doit s’assurer qu’au niveau local, on a tous les dispositifs (le personnel de santé qui maîtrise très bien le protocole, les procédures et toutes les techniques), qui permettent de réagir à temps et d’éviter des risques beaucoup plus importants pour les populations’’, a indiqué M. Sy.
Abdou Salam Guèye a cependant rassuré que ‘’l’OMS travaille avec les 47 pays membres, pour accompagner (les pays africains), dans la détection, la préparation et la réponse aux urgences’’.
Selon lui, ‘’ 85% des urgences sont liées à des maladies et les 20 % sont liées aux catastrophes naturelles” ou des phénomènes causés par l’homme, a ajouté l’officiel.
Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Ibrahima Sy a dit attendre de cette rencontre, ‘’des recommandations fortes, réalistes, innovantes et mesurables’’.
‘’Quand on parle aujourd’hui des questions d’urgence sanitaire en Afrique, la question qui se pose, c’est est-ce que nos systèmes de santé sont très bien préparés, est-ce que nos personnels de santé sont bien sensibilisés par rapport à cette question, pour réagir à temps’’, a dit Ibrahima Sy.
Selon lui, “la question des urgences sanitaires est souvent gérée à un niveau central, alors qu’aujourd’hui, quand on parle d’urgence, la riposte doit se faire au niveau local’’.
”On doit s’assurer qu’au niveau local, on a tous les dispositifs (le personnel de santé qui maîtrise très bien le protocole, les procédures et toutes les techniques), qui permettent de réagir à temps et d’éviter des risques beaucoup plus importants pour les populations’’, a indiqué M. Sy.
Abdou Salam Guèye a cependant rassuré que ‘’l’OMS travaille avec les 47 pays membres, pour accompagner (les pays africains), dans la détection, la préparation et la réponse aux urgences’’.