«Cette grève concerne les activités de soins et d’administration, y compris celles en mode virtuel. Les médecins ne délivreront ni certificat médical, ni certificat de genre de mort ou tout autre document médico-légal», précise-t-il dans un communiqué. Le texte précise que les membres du SAMES vont, pendant la grève, assurer les examens de laboratoire et les services liés aux médicaments, pour les «urgences» seulement.
«La grève ne concerne pas les urgences, la prise en charge des malades de Covid-19 et les activités de vaccination contre le Covid-19» vont se poursuivre, affirme le syndicat.
Ses membres vont mener cette grève pour la signature, par les responsables des partis politiques et de la société civile, d’«une charte pour le respect de la neutralité et de l’inviolabilité de l’intégrité physique, morale et matérielle des agents de santé». Le Sames dit avoir constaté des «violences physiques et verbales de la part d’une partie de la population depuis le début de la lutte contre la Covid-19».
Il souligne que ces violences ont «connu» leur «apogée cette semaine, avec l’attaque de structures de santé publique, des cabinets, de pharmacies, d’ambulances, de véhicules de supervision, d’agents de santé jusque dans leurs domiciles».
À cet égard, le Sames réclame «la prise, par les autorités étatiques, de mesures concrètes qui garantissent la sécurité des agents de santé». Il estime que «le Sénégal se distingue singulièrement dans le mauvais sens, en s’attaquant aux agents de santé alors qu’ailleurs, ces derniers sont portés au pinacle».
En raison de cette situation, le syndicat annonce qu’il a décidé de mener une campagne de communication dénommée «Touche pas à mon docteur».
«La vaccination immédiate de la totalité des étudiants de la Faculté de Médecine et des médecins en spécialisation» fait également partie des revendications du Sames, indique le communiqué parvenu à « Tribune ».
«La grève ne concerne pas les urgences, la prise en charge des malades de Covid-19 et les activités de vaccination contre le Covid-19» vont se poursuivre, affirme le syndicat.
Ses membres vont mener cette grève pour la signature, par les responsables des partis politiques et de la société civile, d’«une charte pour le respect de la neutralité et de l’inviolabilité de l’intégrité physique, morale et matérielle des agents de santé». Le Sames dit avoir constaté des «violences physiques et verbales de la part d’une partie de la population depuis le début de la lutte contre la Covid-19».
Il souligne que ces violences ont «connu» leur «apogée cette semaine, avec l’attaque de structures de santé publique, des cabinets, de pharmacies, d’ambulances, de véhicules de supervision, d’agents de santé jusque dans leurs domiciles».
À cet égard, le Sames réclame «la prise, par les autorités étatiques, de mesures concrètes qui garantissent la sécurité des agents de santé». Il estime que «le Sénégal se distingue singulièrement dans le mauvais sens, en s’attaquant aux agents de santé alors qu’ailleurs, ces derniers sont portés au pinacle».
En raison de cette situation, le syndicat annonce qu’il a décidé de mener une campagne de communication dénommée «Touche pas à mon docteur».
«La vaccination immédiate de la totalité des étudiants de la Faculté de Médecine et des médecins en spécialisation» fait également partie des revendications du Sames, indique le communiqué parvenu à « Tribune ».