La 4e édition du Sargal national de la presse a été célébrée hier, offrant ainsi à la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal (CJRS) l'opportunité de rendre hommage aux doyens et doyennes de la presse sénégalaise.
« Aujourd’hui, nous nous réunissons non seulement pour célébrer l’héritage de ceux qui ont pavé la voie du journalisme au Sénégal, mais aussi pour reconnaître leur dévouement, leur courage et leur passion», a déclaré Migui Maram Ndiaye, président de la Convention, lors de la cérémonie.
M. Ndiaye a également exprimé son admiration pour le travail exceptionnel des doyens et doyennes de la presse, en ces termes : "Chères doyennes chers doyens, nous tenons à vous dire de vive voix que nous sommes fiers de vous. Vous avez été les gardiens de la vérité, les bâtisseurs de notre démocratie et les voix des sans-voix pour reprendre nos confrères du groupe Walfadrji. Votre travail acharné a non seulement façonné le paysage médiatique de notre pays, mais a également inspiré des générations de journalistes, dont nous faisons partie».
Il a ajouté : «En tant que jeunes reporters, nous avons la responsabilité de préserver cette flamme, de continuer à défendre les valeurs de la presse et de nous engager à informer notre société avec intégrité et rigueur. Nous sommes ici pour apprendre de vous, pour nous inspirer de votre parcours et pour poursuivre votre noble mission. »
Cependant, Migui Maram Ndiaye a souligné que « notre profession fait face à des défis considérables. La presse, en tant que pilier de la démocratie, doit aujourd'hui naviguer dans un environnement complexe, marqué par des enjeux économiques, des questions de fiscalité et des conditions de travail souvent précaires. Nous sommes conscients que ces défis peuvent entraver notre capacité à exercer notre métier avec la liberté et l'indépendance qu'il mérite. »
« Aujourd’hui, nous nous réunissons non seulement pour célébrer l’héritage de ceux qui ont pavé la voie du journalisme au Sénégal, mais aussi pour reconnaître leur dévouement, leur courage et leur passion», a déclaré Migui Maram Ndiaye, président de la Convention, lors de la cérémonie.
M. Ndiaye a également exprimé son admiration pour le travail exceptionnel des doyens et doyennes de la presse, en ces termes : "Chères doyennes chers doyens, nous tenons à vous dire de vive voix que nous sommes fiers de vous. Vous avez été les gardiens de la vérité, les bâtisseurs de notre démocratie et les voix des sans-voix pour reprendre nos confrères du groupe Walfadrji. Votre travail acharné a non seulement façonné le paysage médiatique de notre pays, mais a également inspiré des générations de journalistes, dont nous faisons partie».
Il a ajouté : «En tant que jeunes reporters, nous avons la responsabilité de préserver cette flamme, de continuer à défendre les valeurs de la presse et de nous engager à informer notre société avec intégrité et rigueur. Nous sommes ici pour apprendre de vous, pour nous inspirer de votre parcours et pour poursuivre votre noble mission. »
Cependant, Migui Maram Ndiaye a souligné que « notre profession fait face à des défis considérables. La presse, en tant que pilier de la démocratie, doit aujourd'hui naviguer dans un environnement complexe, marqué par des enjeux économiques, des questions de fiscalité et des conditions de travail souvent précaires. Nous sommes conscients que ces défis peuvent entraver notre capacité à exercer notre métier avec la liberté et l'indépendance qu'il mérite. »