"Aux électeurs du Front national, je dis que je comprends votre souffrance mais le vote FN ne résoudra aucun des problèmes" pour lesquels "vous voulez une solution", a affirmé le président-candidat, ajoutant que "chaque vote FN profitera à la gauche".
Devant quelque 5.000 personnes, réunies au Zénith, M. Sarkozy s'est également adressé aux électeurs du centre: "Qu'avez-vous de commun avec Jean-Luc Mélenchon, avec ceux qui prônent la haine, le déficit, qui nient toutes les réalités de la vie?" Sous les yeux des ministres Bruno Le Maire et Roselyne Bachelot, de Jean-François Copé et Nathalie Kosciusko-Morizet, mais aussi de Bernadette Chirac, Nicolas Sarkozy a faire rire le public en se moquant abondamment de son rival socialiste.
"Il y a ceux qui singent François Mitterrand mais n'est pas François Mitterrand qui veut!", a-t-il lancé. Il a de nouveau reproché au candidat PS d'avoir passé un accord avec les écologistes prévoyant la fermeture de 24 réacteurs d'ici 2015, et rappelé que l'ancien président socialiste avait mis en place, pendant ses deux septennats, "40 réacteurs". M. Hollande a prévu de fermer la centrale de Fessenheim durant son éventuel quinquennat.
A propos des risques du nucléaire évoqués par les Verts après Fukushima, M. Sarkozy a expliqué que la catastrophe de mars 2011 avait été provoquée par un tsunami, avec "une vague de 42 mètres". "Je me suis précipité sur une carte" pour voir où était Fessenheim... en Alsace!", s'est-il exclamé.
A propos de la candidate EELV Eva Joly, il a lancé: "Je me demande ce que deviendrait la planète entre des mains si malhabiles". Les quolibets contre M. Hollande ont continué de fuser, toujours sous les applaudissements de l'auditoire. "François Hollande a donné son programme pour une année mais je croyais qu'on était candidat pour cinq ans!", s'est-il exclamé, alors que le candidat PS a exposé mercredi les mesures qu'il prendrait au début de son quinquennat.
"En un an, on dépense tout, sans limite, sans conséquences et on commence par (réformer) les retraites", a-t-il dénoncé. M. Hollande "est contre le racisme? On va supprimer le mot race" de la constitution, a-t-il également ironisé, en référence à la proposition du candidat PS.
SOURCE:7sur7.be
Devant quelque 5.000 personnes, réunies au Zénith, M. Sarkozy s'est également adressé aux électeurs du centre: "Qu'avez-vous de commun avec Jean-Luc Mélenchon, avec ceux qui prônent la haine, le déficit, qui nient toutes les réalités de la vie?" Sous les yeux des ministres Bruno Le Maire et Roselyne Bachelot, de Jean-François Copé et Nathalie Kosciusko-Morizet, mais aussi de Bernadette Chirac, Nicolas Sarkozy a faire rire le public en se moquant abondamment de son rival socialiste.
"Il y a ceux qui singent François Mitterrand mais n'est pas François Mitterrand qui veut!", a-t-il lancé. Il a de nouveau reproché au candidat PS d'avoir passé un accord avec les écologistes prévoyant la fermeture de 24 réacteurs d'ici 2015, et rappelé que l'ancien président socialiste avait mis en place, pendant ses deux septennats, "40 réacteurs". M. Hollande a prévu de fermer la centrale de Fessenheim durant son éventuel quinquennat.
A propos des risques du nucléaire évoqués par les Verts après Fukushima, M. Sarkozy a expliqué que la catastrophe de mars 2011 avait été provoquée par un tsunami, avec "une vague de 42 mètres". "Je me suis précipité sur une carte" pour voir où était Fessenheim... en Alsace!", s'est-il exclamé.
A propos de la candidate EELV Eva Joly, il a lancé: "Je me demande ce que deviendrait la planète entre des mains si malhabiles". Les quolibets contre M. Hollande ont continué de fuser, toujours sous les applaudissements de l'auditoire. "François Hollande a donné son programme pour une année mais je croyais qu'on était candidat pour cinq ans!", s'est-il exclamé, alors que le candidat PS a exposé mercredi les mesures qu'il prendrait au début de son quinquennat.
"En un an, on dépense tout, sans limite, sans conséquences et on commence par (réformer) les retraites", a-t-il dénoncé. M. Hollande "est contre le racisme? On va supprimer le mot race" de la constitution, a-t-il également ironisé, en référence à la proposition du candidat PS.
SOURCE:7sur7.be