Il existe au sein de l’hôpital Principal de Dakar un clan dirigé par le médecin- chef. Une atmosphère morose règne entre une bonne partie du personnel et la direction. Tous ceux qui appartiennent au clan sont en odeur de sainteté avec du directeur, leurs enfants sont recrutés sans sélection. On peut citer par exemple la fille du chef des ressources humaines qui a été embauchée en moins d’un an de service alors que d’autres sont sous CDD depuis deux ans .
Le chef de section de l’atelier de la maintenance du matériel hospitalier en l'occurrence Samba Ka est non seulement maintenu pour quatre (04) ans après sa retraite militaire, mais a son épouse, un neveu et dernièrement son fils tous embauchés à HPD.
L’ancien chef du syndicat maison, Modou Niang a sa fille, un frère et un cousin embauchés depuis plusieurs années. Cet ancien responsable syndical est aujourd hui le représentant des usagers au sein du conseil d’administration.
L’hôpital Principal, qui a été très bien géré pendant plus d’un siècle par les Français, se voit aujourd'hui instaurer en son sein le népotisme.
Le chef de section de l’atelier de la maintenance du matériel hospitalier en l'occurrence Samba Ka est non seulement maintenu pour quatre (04) ans après sa retraite militaire, mais a son épouse, un neveu et dernièrement son fils tous embauchés à HPD.
L’ancien chef du syndicat maison, Modou Niang a sa fille, un frère et un cousin embauchés depuis plusieurs années. Cet ancien responsable syndical est aujourd hui le représentant des usagers au sein du conseil d’administration.
L’hôpital Principal, qui a été très bien géré pendant plus d’un siècle par les Français, se voit aujourd'hui instaurer en son sein le népotisme.