Au classement national des régions du Sénégal les plus infestées et affectées par le VIH/Sida, se trouve Sédhiou qui pointe en troisième position ; annonce faite hier mardi, à Sédhiou, par le Directeur technique de l’Alliance nationale des communautés pour la santé (ANCS) à sa sortie d’audience avec le gouverneur de région. Massogui Thiandoum convoque plusieurs facteurs à risque qui expliquent, selon lui, cette prévalence en hausse notamment la forte mobilité transfrontalière liée à la porosité des frontières, renseigne SudQuotidien.
«Le taux de prévalence dans la région de Sédhiou pour le VIH/Sida tourne autour de 1,6% ; alors que la moyenne nationale est de l’ordre de 0,3%. Et c’est la région qui est la troisième la plus infectée par le Sida. Mais ce taux de prévalence cache une autre réalité car c’est une région qui présente un taux de prévalence régionale compte tenu du fait qu’elle est transfrontalière avec beaucoup d’autres pays de la sous-région de l’Afrique de l’Ouest», a relevé le Directeur technique de l’ANCS.
Et Massogui Thiandoum de poursuivre sur d’autres facteurs aggravants : «nous savons également que beaucoup de malades en provenance de ces pays-là viennent se soigner ici à Sédhiou. Il y a aussi des facteurs socio-culturels ainsi que la pauvreté qui engendre des comportements de vulnérabilité des populations. A cela s’ajoutent la faiblesse de l’offre de service et l’inaccessibilité de certaines zones», a-t-il fait observer.
D'aprés toujours SudQuotidien, cette rencontre avec le gouverneur de région ainsi qu’avec les partenaires de mise en œuvre est un fort plaidoyer dans le sillage de la création d’une synergie d’actions pour rompre la propagation de la maladie et celles dites opportunistes. Pour Massogui Thiandoum, le Directeur technique de l’ANCS, «tout le plaidoyer que nous avons fait auprès de monsieur le gouverneur a tourné autour de ces points-là. Et nous sommes très contents que des engagements aient été pris allant dans le sens de la prise en charge de ces préoccupations ainsi soulevées. Cela fait aider l’ensemble des parties prenantes à travailler la main dans la main et faire en sorte que la politique de santé du Sénégal profitable à tous les citoyens et que les indicateurs de santé soient au vert au rendez-vous 2030», a-t-il noté, détaille la même source.
L’adjoint au gouverneur de Sédhiou chargé du Développement, Ba Ousmane Danfakha, a rassuré de l’accompagnement de son institution notamment la diligence dans les déplacements de la clinique mobile dans les zones enclavées ainsi que la coordination avec les différents services en présence dans la région.
«Le taux de prévalence dans la région de Sédhiou pour le VIH/Sida tourne autour de 1,6% ; alors que la moyenne nationale est de l’ordre de 0,3%. Et c’est la région qui est la troisième la plus infectée par le Sida. Mais ce taux de prévalence cache une autre réalité car c’est une région qui présente un taux de prévalence régionale compte tenu du fait qu’elle est transfrontalière avec beaucoup d’autres pays de la sous-région de l’Afrique de l’Ouest», a relevé le Directeur technique de l’ANCS.
Et Massogui Thiandoum de poursuivre sur d’autres facteurs aggravants : «nous savons également que beaucoup de malades en provenance de ces pays-là viennent se soigner ici à Sédhiou. Il y a aussi des facteurs socio-culturels ainsi que la pauvreté qui engendre des comportements de vulnérabilité des populations. A cela s’ajoutent la faiblesse de l’offre de service et l’inaccessibilité de certaines zones», a-t-il fait observer.
D'aprés toujours SudQuotidien, cette rencontre avec le gouverneur de région ainsi qu’avec les partenaires de mise en œuvre est un fort plaidoyer dans le sillage de la création d’une synergie d’actions pour rompre la propagation de la maladie et celles dites opportunistes. Pour Massogui Thiandoum, le Directeur technique de l’ANCS, «tout le plaidoyer que nous avons fait auprès de monsieur le gouverneur a tourné autour de ces points-là. Et nous sommes très contents que des engagements aient été pris allant dans le sens de la prise en charge de ces préoccupations ainsi soulevées. Cela fait aider l’ensemble des parties prenantes à travailler la main dans la main et faire en sorte que la politique de santé du Sénégal profitable à tous les citoyens et que les indicateurs de santé soient au vert au rendez-vous 2030», a-t-il noté, détaille la même source.
L’adjoint au gouverneur de Sédhiou chargé du Développement, Ba Ousmane Danfakha, a rassuré de l’accompagnement de son institution notamment la diligence dans les déplacements de la clinique mobile dans les zones enclavées ainsi que la coordination avec les différents services en présence dans la région.