Le tweet de Valérie Trierweiler ? On sait enfin ce qu’en pense vraiment Ségolène Roylal : "C’est l’inversion des rôles. C’est moi dont la famille a été bousillée, c’est moi qui pourrais avoir de la rancœur. (…) C’est horrible ! Je suis une femme politique, je me bats, et je suis ravalée au rang de feuilleton, de théâtre de boulevard, de machin à trois, de trio !"
Enfin, la candidate vaincue vide son sac. Elle évoque même ses enfants, expliquant qu’elle a dû réconforter plusieurs fois sa fille Flora, "effondrée au téléphone". Mais ses enfants, eux, continuent de la soutenir, notamment en la rejoignant à La Rochelle pour son dernier combat. Thomas ne s’est d’ailleurs pas arrêté là, en moquant ouvertement le tweet de Valérie Trierweiler.
Mais Ségolène Royal, maintenant lancée contre sa rivale, continue. Pour elle, tout s’éclaire subitement. Si en 2007 elle n’a pas gagné l’élection présidentielle, manquant de soutien de la part des éléphants du PS, ce serait finalement en partie de la faute de Valérie Trierweiler :
"Je me dis qu’en 2007 ça n’a pas dû arranger les choses. Je comprends pourquoi François ne m’a pas aidée. (…) En 2007, je me suis dit : ça va passer, ça va s’arranger. Donc, j’ai encaissé. (…) En 2007, elle (Valérie Trierweiler, ndlr) a profité de la situation. C’était facile, elle suivait le PS, elle suivait le premier secrétaire. Dans un pays anglo-saxon, le jour même, c’est le licenciement. Mais ’Paris Match’ n’était pas mécontent de me voir affaiblie, alors ils l’ont laissée volontairement, comme tous les autres qui savaient, Lagardère, Sarkozy…"
Source : Closer.fr
Enfin, la candidate vaincue vide son sac. Elle évoque même ses enfants, expliquant qu’elle a dû réconforter plusieurs fois sa fille Flora, "effondrée au téléphone". Mais ses enfants, eux, continuent de la soutenir, notamment en la rejoignant à La Rochelle pour son dernier combat. Thomas ne s’est d’ailleurs pas arrêté là, en moquant ouvertement le tweet de Valérie Trierweiler.
Mais Ségolène Royal, maintenant lancée contre sa rivale, continue. Pour elle, tout s’éclaire subitement. Si en 2007 elle n’a pas gagné l’élection présidentielle, manquant de soutien de la part des éléphants du PS, ce serait finalement en partie de la faute de Valérie Trierweiler :
"Je me dis qu’en 2007 ça n’a pas dû arranger les choses. Je comprends pourquoi François ne m’a pas aidée. (…) En 2007, je me suis dit : ça va passer, ça va s’arranger. Donc, j’ai encaissé. (…) En 2007, elle (Valérie Trierweiler, ndlr) a profité de la situation. C’était facile, elle suivait le PS, elle suivait le premier secrétaire. Dans un pays anglo-saxon, le jour même, c’est le licenciement. Mais ’Paris Match’ n’était pas mécontent de me voir affaiblie, alors ils l’ont laissée volontairement, comme tous les autres qui savaient, Lagardère, Sarkozy…"
Source : Closer.fr