Les syndicalistes ont arboré des brassards rouges et brandi des pancartes sur lesquelles il était écrit : ‘’Souveraineté alimentaire sans recherche’’, ‘’Non à la gestion chaotique de la recherche’’, ‘’Non aux décisions unilatérales’’, etc.
Lors de ce rassemblement, au siège de l’ISRA, ils ont réclamé la signature de quatre décrets, dont l’un porte sur l’organisation et le fonctionnement de l’Institut sénégalais de recherches agricoles. L’un des décrets est relatif à son règlement d’établissement.
Les deux autres vont encadrer le statut du chercheur et modifier la grille des salaires des travailleurs de l’ISRA.
‘’i[Nous manifestons notre mécontentement et nos frustrations face à la négligence [que] l’ISRA vit actuellement. En mars 2022, lors d’un Conseil des ministres, le président [de la République] avait donné des instructions pour le suivi de nos revendications]i’’, a rappelé la secrétaire générale du SARAA, Mame Farma Ndiaye.
Selon elle, seul le projet de décret portant organisation et fonctionnement de l’ISRA a été adopté en Conseil des ministres. Les autres n’ont pas été abordés par le gouvernement en août dernier, alors que les travailleurs de l’institut de recherche s’y attendaient.
À la grande surprise des chercheurs, le projet de décret du statut des chercheurs, a été fondu dans le décret portant règlement d’établissement, sans aucune raison valable, ce, noyant tous les efforts fournis pour son élaboration, a dénoncé Mame Farma Ndiaye.
‘’Cette situation perdure depuis près de deux ans’’, a-t-elle signalé.
Mme Ndiaye ajoute que des chercheurs continuent de quitter l’ISRA pour aller travailler ailleurs à cause d’elle.
‘’La saignée que l’ISRA a connue est sans précédent. Dix chercheurs seniors, ayant plus de dix ans d’expérience, l’ont quitté durant ces dernières années’’, a déploré Mme Ndiaye.
Les chercheurs exigent aussi une augmentation du budget alloué à l’Institut sénégalais de recherches agricoles, afin qu’ils puissent bien mener leurs recherches, qui, dans la plupart des cas, sont financées par des organisations partenaires.
Lors de ce rassemblement, au siège de l’ISRA, ils ont réclamé la signature de quatre décrets, dont l’un porte sur l’organisation et le fonctionnement de l’Institut sénégalais de recherches agricoles. L’un des décrets est relatif à son règlement d’établissement.
Les deux autres vont encadrer le statut du chercheur et modifier la grille des salaires des travailleurs de l’ISRA.
‘’i[Nous manifestons notre mécontentement et nos frustrations face à la négligence [que] l’ISRA vit actuellement. En mars 2022, lors d’un Conseil des ministres, le président [de la République] avait donné des instructions pour le suivi de nos revendications]i’’, a rappelé la secrétaire générale du SARAA, Mame Farma Ndiaye.
Selon elle, seul le projet de décret portant organisation et fonctionnement de l’ISRA a été adopté en Conseil des ministres. Les autres n’ont pas été abordés par le gouvernement en août dernier, alors que les travailleurs de l’institut de recherche s’y attendaient.
À la grande surprise des chercheurs, le projet de décret du statut des chercheurs, a été fondu dans le décret portant règlement d’établissement, sans aucune raison valable, ce, noyant tous les efforts fournis pour son élaboration, a dénoncé Mame Farma Ndiaye.
‘’Cette situation perdure depuis près de deux ans’’, a-t-elle signalé.
Mme Ndiaye ajoute que des chercheurs continuent de quitter l’ISRA pour aller travailler ailleurs à cause d’elle.
‘’La saignée que l’ISRA a connue est sans précédent. Dix chercheurs seniors, ayant plus de dix ans d’expérience, l’ont quitté durant ces dernières années’’, a déploré Mme Ndiaye.
Les chercheurs exigent aussi une augmentation du budget alloué à l’Institut sénégalais de recherches agricoles, afin qu’ils puissent bien mener leurs recherches, qui, dans la plupart des cas, sont financées par des organisations partenaires.