Les révélations de Cheikh Tidiane Gadio faites derrières les murs capitonnés du studio de la Rfm démontent les propos du président Wade qui a déclaré que son ancien ministre des affaires étrangères - qu’il donnait pour le meilleur à ce poste que le Sénégal n’ait jamais connu - « ne s’est jamais rendu en Iran ». Non seulement, le leader du mouvement politique citoyen « Luy Jot Jotna » dit avoir organisé deux commissions mixtes avec l’Iran, mais aussi qu’il a été cinq fois au pays de Mahmoud Ahmedinejad...Et last but not least, les trois fois comme « envoyé spécial » du président de la République.
Décidément les révélations de Gadio ont une résonnance arithmétique : « Il (le chef de l’Etat) m’a invité trois fois, j’ai décliné l’offre respectueusement ». Le contexte politique ne lui permettait d’avoir un tête-à-tête avec Wade au risque d’alimenter les rumeurs.
Cheikh Tidiane Gadio serait par ailleurs l’objet d’une campagne de décrédibilisation de la part du président Wade qui aurait même avancé que son ancien collaborateur soutenait Gbagbo, le président déchu de Côte d’Ivoire. « J’ai aidé des chefs d’Etat à passer des messages à Gbagbo et Ouattara », déclare Gadio.
Gadio raconte : « J’ai dit à Gbagbo qu’un de ses collégues chef d’Etat lui demande ne pas tirer sur la foule ; conséquence, le leader des jeunes patriotes annule sa conférence de presse le lendemain et l’explique par le fait qu’il veut donner une chance à la diplomatie ».
Ferloo.com
Décidément les révélations de Gadio ont une résonnance arithmétique : « Il (le chef de l’Etat) m’a invité trois fois, j’ai décliné l’offre respectueusement ». Le contexte politique ne lui permettait d’avoir un tête-à-tête avec Wade au risque d’alimenter les rumeurs.
Cheikh Tidiane Gadio serait par ailleurs l’objet d’une campagne de décrédibilisation de la part du président Wade qui aurait même avancé que son ancien collaborateur soutenait Gbagbo, le président déchu de Côte d’Ivoire. « J’ai aidé des chefs d’Etat à passer des messages à Gbagbo et Ouattara », déclare Gadio.
Gadio raconte : « J’ai dit à Gbagbo qu’un de ses collégues chef d’Etat lui demande ne pas tirer sur la foule ; conséquence, le leader des jeunes patriotes annule sa conférence de presse le lendemain et l’explique par le fait qu’il veut donner une chance à la diplomatie ».
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