En effet, selon ce rapport, des femmes et des filles, parfois âgées d’à peine 12 ans, sont victimes de trafic sexuel orchestré par des réseaux organisés de trafiquants.
Ces criminels utilisent la servitude pour, pour mieux les exploiter.
Les victimes proviennent non seulement du Sénégal, mais aussi de pays voisins comme le Nigéria, le Mali, le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée, la Sierra Leone, et même de la République populaire de Chine.
En outre, des jeunes garçons issus des pays voisins, sont soumis au travail forcé dans les mines d’or artisanales de Kédougou.
Les conditions de travail, extrêmement précaires, inhumaines et dégradantes, violent les droits fondamentaux des enfants, qui sont par ailleurs victimes de traite.
Cette exploitation humaine ne se limite pas à la région minière. Le rapport souligne également que des navires de pêche détenus par des ressortissants chinois et battant pavillon sénégalais, exploitent des hommes ouest-africains et des ressortissants chinois.
Un constat préoccupant du rapport, est que le gouvernement du Sénégal ne respecte pas pleinement les normes minimales pour l’élimination de la traite des personnes, bien que des efforts soient déployés pour remédier à cette situation.
*ADHA appelle le gouvernement sénégalais à :*
1. *Renforcer les efforts* de lutte contre la traite des personnes.
2. *Mettre en place des mesures de protection* pour les victimes, y compris des services de soutien psychologique et médical, ainsi que des programmes de réinsertion sociale.
3. *Élaborer et appliquer des lois plus strictes* contre les trafiquants et leurs complices, y compris les familles impliquées dans ces pratiques néfastes.
4. *Sensibiliser le public* sur les dangers et les signes de la traite des personnes, afin de prévenir de nouvelles victimes.
ADHA exhorte également :
- Les organisations nationales et internationales, à redoubler d’efforts pour atteindre des résultats tangibles, suite aux nombreux financements reçus.
- La communauté internationale à continuer de soutenir le Sénégal dans ses efforts pour éradiquer ces pratiques inhumaines et dégradantes et pour protéger les droits fondamentaux des personnes vulnérables.
Fait le 26 juin 2024, à Dakar.
Ces criminels utilisent la servitude pour, pour mieux les exploiter.
Les victimes proviennent non seulement du Sénégal, mais aussi de pays voisins comme le Nigéria, le Mali, le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée, la Sierra Leone, et même de la République populaire de Chine.
En outre, des jeunes garçons issus des pays voisins, sont soumis au travail forcé dans les mines d’or artisanales de Kédougou.
Les conditions de travail, extrêmement précaires, inhumaines et dégradantes, violent les droits fondamentaux des enfants, qui sont par ailleurs victimes de traite.
Cette exploitation humaine ne se limite pas à la région minière. Le rapport souligne également que des navires de pêche détenus par des ressortissants chinois et battant pavillon sénégalais, exploitent des hommes ouest-africains et des ressortissants chinois.
Un constat préoccupant du rapport, est que le gouvernement du Sénégal ne respecte pas pleinement les normes minimales pour l’élimination de la traite des personnes, bien que des efforts soient déployés pour remédier à cette situation.
*ADHA appelle le gouvernement sénégalais à :*
1. *Renforcer les efforts* de lutte contre la traite des personnes.
2. *Mettre en place des mesures de protection* pour les victimes, y compris des services de soutien psychologique et médical, ainsi que des programmes de réinsertion sociale.
3. *Élaborer et appliquer des lois plus strictes* contre les trafiquants et leurs complices, y compris les familles impliquées dans ces pratiques néfastes.
4. *Sensibiliser le public* sur les dangers et les signes de la traite des personnes, afin de prévenir de nouvelles victimes.
ADHA exhorte également :
- Les organisations nationales et internationales, à redoubler d’efforts pour atteindre des résultats tangibles, suite aux nombreux financements reçus.
- La communauté internationale à continuer de soutenir le Sénégal dans ses efforts pour éradiquer ces pratiques inhumaines et dégradantes et pour protéger les droits fondamentaux des personnes vulnérables.
Fait le 26 juin 2024, à Dakar.