L'ONG "a l'ambition de planter cinq millions de pousses de palétuviers" en deux mois (15 août-15 octobre), en collaboration avec des habitants de 130 villages, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Mardi matin, "nous étions dans deux villages: à Nyassia, où 150 personnes venaient de finir de planter des propagules (plantules), puis à Dioher, également pour le repiquage de plants dans la vase", a expliqué à l'AFP Haïdar el-Ali, directeur de l'Océanium, joint par téléphone depuis Dakar.
"Des équipes collectent des semences dans des villages casamançais tels que Diakène Ouolof ou Elinkine. Puis des camionnettes descendent, dans chaque village (impliqué dans la restauration de la mangrove) 50 sacs contenant chacun un millier de semences", a expliqué M. el-Ali.
"Si vous allez à l'entrée de Ziguinchor (une des principales villes de Casamance), vous verrez les premières mangroves plantées il y a trois ans", a ajouté l'écologiste.
Selon l'Océanium, plus de 500.000 palétuviers ont été plantés dans la région en 2006 et 2007.
La mangrove, "écosystème typique de la Casamance, fait d'îlots de palétuviers peuplé par une faune abondante", est indispensable à la vie des communautés côtières, fait valoir l'ONG.
"Le palétuvier est utilisé comme bois d'oeuvre par les populations locales" et les huîtres qui poussent dans certains palétuviers "sont consommées et fournissent un apport important des protéines", explique-t-elle.
"Les forêts de mangrove constituent aussi des habitats naturels pour de nombreuses espèces (crabes, crocodiles, singes, oiseaux...) et un lieu de fraie et de nurserie" pour les poissons, ajoute l'Océanium.
Mardi matin, "nous étions dans deux villages: à Nyassia, où 150 personnes venaient de finir de planter des propagules (plantules), puis à Dioher, également pour le repiquage de plants dans la vase", a expliqué à l'AFP Haïdar el-Ali, directeur de l'Océanium, joint par téléphone depuis Dakar.
"Des équipes collectent des semences dans des villages casamançais tels que Diakène Ouolof ou Elinkine. Puis des camionnettes descendent, dans chaque village (impliqué dans la restauration de la mangrove) 50 sacs contenant chacun un millier de semences", a expliqué M. el-Ali.
"Si vous allez à l'entrée de Ziguinchor (une des principales villes de Casamance), vous verrez les premières mangroves plantées il y a trois ans", a ajouté l'écologiste.
Selon l'Océanium, plus de 500.000 palétuviers ont été plantés dans la région en 2006 et 2007.
La mangrove, "écosystème typique de la Casamance, fait d'îlots de palétuviers peuplé par une faune abondante", est indispensable à la vie des communautés côtières, fait valoir l'ONG.
"Le palétuvier est utilisé comme bois d'oeuvre par les populations locales" et les huîtres qui poussent dans certains palétuviers "sont consommées et fournissent un apport important des protéines", explique-t-elle.
"Les forêts de mangrove constituent aussi des habitats naturels pour de nombreuses espèces (crabes, crocodiles, singes, oiseaux...) et un lieu de fraie et de nurserie" pour les poissons, ajoute l'Océanium.