« Nous donnons 72 heures de délai au gouvernement pour qu’il fasse quitter les auxiliaires de gendarmes la Senelec de la rue Vincent, sinon nous prendrons notre responsabilité », avertit-il. Puisque, poursuit-il, « le courant ne passe plus depuis quelques jours entre les caissiers, les stagiaires et les auxiliaires de gendarmes ».
Selon Oumar Sylla : « ce sont des querelles qui émaillent le quotidien des caissiers et des stagiaires avec les auxiliaires de gendarme accusés d’ignorer leur droit le plus élémentaire en matière de sécurité. Ce que nous voulons c’est leur départ de la Senelec Vincent même s’il faut amener des gendarmes expérimentés ou de trouver d’autres formules de sécurisation des lieux que de laisser ces auxiliaires sur place ».
En effet, le gouvernement avait jugé nécessaire depuis les émeutes contre les délestages de déployer les forces de l’ordre devant les différentes agences de la Senelec pour y assurer la sécurité.
Mais le fait que cette sécurité soit assurée par des auxiliaires de gendarmes inexpérimentés face à d’autres jeunes travailleurs de la Senelec a fini de polluer l’atmosphère déjà surchauffée de la Senelec.
Ferloo
Selon Oumar Sylla : « ce sont des querelles qui émaillent le quotidien des caissiers et des stagiaires avec les auxiliaires de gendarme accusés d’ignorer leur droit le plus élémentaire en matière de sécurité. Ce que nous voulons c’est leur départ de la Senelec Vincent même s’il faut amener des gendarmes expérimentés ou de trouver d’autres formules de sécurisation des lieux que de laisser ces auxiliaires sur place ».
En effet, le gouvernement avait jugé nécessaire depuis les émeutes contre les délestages de déployer les forces de l’ordre devant les différentes agences de la Senelec pour y assurer la sécurité.
Mais le fait que cette sécurité soit assurée par des auxiliaires de gendarmes inexpérimentés face à d’autres jeunes travailleurs de la Senelec a fini de polluer l’atmosphère déjà surchauffée de la Senelec.
Ferloo