Le professionnalisme et la compétence des travailleurs de la Senelec ne sont plus à démontrés dont certains ont participé même aux solutions de sortie de crise de l’électricité à laquelle était confrontée l’Afrique du Sud, il ya quelques années. En ce qui concerne l’Apix, elle n’a jamais signé de marché de gré à gré contrairement aux déclarations fallacieuses du Sutelec. Et pourtant elle pouvait le faire vu l’urgence face aux populations meurtries aujourd’hui par les délestages, voire le rationnement de l’électricité. Conformément aux dernières modifications apportées au nouveau Code des marchés publics (Cf décret n°2010-1188 du 13 Septembre 2010) notamment l’article 76 alinéa D, l’Apix a été autorisée par l’autorité compétente pour procéder à l’entente directe. Mme le Directeur Général, éprise de transparence dans sa gestion quotidienne, a procédé à la consultation de 18 firmes internationales dont six ont répondu aux sollicitations des autorités sénégalaises.
Un comité multipartite composée des représentants de la Senelec (directeur général adjoint et directeur des équipements), de l’Apix, du ministère de l’Economie et des Finances, et du ministère de l’Energie est en train de finaliser l’évaluation et la sélection de l’entreprise qui devra apporter la puissance additionnelle conformément au respect des orientations indiquées dans le Plan d’Urgence. Et depuis plus d’une dizaine de jours, ces braves gens passent des nuits blanches dans les locaux de l’Apix pour éplucher de manière transparente les dossiers des six firmes internationales qui ont répondu à la consultation. Celle-ci fait suite aux orientations liées à la réalisation, la mise en œuvre et le suivi des investissements structurants de renforcement des capacités dans le secteur de l’énergie, notamment dans le sous-secteur de l’électricité, par l’augmentation des capacités de production d’énergie électrique.
Le moment venu, l’opinion publique sera informée du travail effectué par l’Apix suite à la nouvelle mission à elle confiée par le Président de la République (décret n°2011-111). Suivant la dite mission, ces investissements devraient normalement être conduits par la Senelec. Cependant, force est de constater que cette dernière, en proie à de graves difficultés structurelles et devant faire l’objet d’une restructuration financière, ne peut conduire concomitamment des investissements. Voilà pourquoi l’Apix est intervenue dans ce dossier, en particulier le volet investissements.
Il faut maintenant demander à ces syndicalistes où ils étaient quand la Senelec signait des contrats de gré à gré, voire léonins sur la période 2003-2009 avec Myna Dystribution et Tchnimex. Des contrats épinglés en décembre 2010 par le rapport de la Cour des Comptes et repris par la gazette n°93 du 20 au 27 janvier 2011. Ils étaient muets comme des carpes depuis près de 7ans alors que la situation méritait qu’ils se prononcèrent. J’aimerais bien qu’ils apportent des réponses par rapport à leur responsabilité sur la crise de l’électricité. Et de 2000 à 2010, tous ceux qui ont eu en charge l’électricité qu’ils soient DG ou ministres de tutelle ont une responsabilité devant la Nation sénégalaise face à la crise. Les Sénégalais ont assez souffert pour que des forces tapies dans l’ombre tentent de vouer aux gémonies les solutions transitoires de sortie de crise à laquelle l’Apix est impliquée grâce à la confiance du Chef de l’Etat et à l’appui des Partenaires Techniques et Financiers.
Un comité multipartite composée des représentants de la Senelec (directeur général adjoint et directeur des équipements), de l’Apix, du ministère de l’Economie et des Finances, et du ministère de l’Energie est en train de finaliser l’évaluation et la sélection de l’entreprise qui devra apporter la puissance additionnelle conformément au respect des orientations indiquées dans le Plan d’Urgence. Et depuis plus d’une dizaine de jours, ces braves gens passent des nuits blanches dans les locaux de l’Apix pour éplucher de manière transparente les dossiers des six firmes internationales qui ont répondu à la consultation. Celle-ci fait suite aux orientations liées à la réalisation, la mise en œuvre et le suivi des investissements structurants de renforcement des capacités dans le secteur de l’énergie, notamment dans le sous-secteur de l’électricité, par l’augmentation des capacités de production d’énergie électrique.
Le moment venu, l’opinion publique sera informée du travail effectué par l’Apix suite à la nouvelle mission à elle confiée par le Président de la République (décret n°2011-111). Suivant la dite mission, ces investissements devraient normalement être conduits par la Senelec. Cependant, force est de constater que cette dernière, en proie à de graves difficultés structurelles et devant faire l’objet d’une restructuration financière, ne peut conduire concomitamment des investissements. Voilà pourquoi l’Apix est intervenue dans ce dossier, en particulier le volet investissements.
Il faut maintenant demander à ces syndicalistes où ils étaient quand la Senelec signait des contrats de gré à gré, voire léonins sur la période 2003-2009 avec Myna Dystribution et Tchnimex. Des contrats épinglés en décembre 2010 par le rapport de la Cour des Comptes et repris par la gazette n°93 du 20 au 27 janvier 2011. Ils étaient muets comme des carpes depuis près de 7ans alors que la situation méritait qu’ils se prononcèrent. J’aimerais bien qu’ils apportent des réponses par rapport à leur responsabilité sur la crise de l’électricité. Et de 2000 à 2010, tous ceux qui ont eu en charge l’électricité qu’ils soient DG ou ministres de tutelle ont une responsabilité devant la Nation sénégalaise face à la crise. Les Sénégalais ont assez souffert pour que des forces tapies dans l’ombre tentent de vouer aux gémonies les solutions transitoires de sortie de crise à laquelle l’Apix est impliquée grâce à la confiance du Chef de l’Etat et à l’appui des Partenaires Techniques et Financiers.