Près d’une centaine de cases ont brûlé, sans compter les récoltes de cette année et des années antérieures, réduites en cendres, ainsi que du bétail calciné, entre autres dégâts causés. D’après les premiers témoignages, ce sont 83 cases qui ont été emportées par la furie des flammes, dopées par les vents forts qui ont soufflé le jour du drame dans la zone.
Des témoignages de personnes sinistrées pointent du doigt les feux de brousse. Selon elles, l’origine de l’incendie serait un feu de brousse qui a gagné le village du fait des vents forts qui soufflaient.
« Le vent était tellement fort qu’il était quasi impossible d’arrêter les flammes », a déclaré, atterré, un sinistré. «Nous avons observé impuissants la destruction de nos biens. Les flammes étaient inarrêtables. C’était vraiment une scène horrible», a ajouté cette personne, les larmes aux yeux.
Pour l’instant, notent les habitants, 83 cases sont brûlées. Pour les denrées alimentaires et les récoltes de cette année, on ne peut pas estimer les pertes. C’est énorme, a indiqué l’une des victimes.
Autre lieu, autre désastre.
Ndam, cette contrée a reçu la première, la visite des flammes. C’est le mercredi vers 17h qu’un incendie y a été déclaré. Même si les dégâts sont moindres, les stigmates des feux y sont encore visibles. Des cases calcinées, du bétail brûlé aussi et des vivres réduits en cendre.
Serigne Modou Sy Mbacké, dignitaire religieux du village et personne sinistrée, a tenté d’expliquer le drame disant que c‘est aux environs de 11h que le feu s’était signalé. Les populations ont tout essayé pour maîtriser les flammes. Mais, par manque d’eau, c’était quasi impossible.
Le village connaît un gros déficit en eau et cela a aggravé la situation. Les vents forts qui soufflaient, ont dopé les flammes. Le forage est à l’arrêt depuis plusieurs années, maintenant. Et rien n’est fait pour le réparer.
Et c’est pourquoi l’enseignant du village a sollicité des autorités administratives, outre de l’aide alimentaire en urgence, à penser à réparer le forage.
Le Quotidien
Des témoignages de personnes sinistrées pointent du doigt les feux de brousse. Selon elles, l’origine de l’incendie serait un feu de brousse qui a gagné le village du fait des vents forts qui soufflaient.
« Le vent était tellement fort qu’il était quasi impossible d’arrêter les flammes », a déclaré, atterré, un sinistré. «Nous avons observé impuissants la destruction de nos biens. Les flammes étaient inarrêtables. C’était vraiment une scène horrible», a ajouté cette personne, les larmes aux yeux.
Pour l’instant, notent les habitants, 83 cases sont brûlées. Pour les denrées alimentaires et les récoltes de cette année, on ne peut pas estimer les pertes. C’est énorme, a indiqué l’une des victimes.
Autre lieu, autre désastre.
Ndam, cette contrée a reçu la première, la visite des flammes. C’est le mercredi vers 17h qu’un incendie y a été déclaré. Même si les dégâts sont moindres, les stigmates des feux y sont encore visibles. Des cases calcinées, du bétail brûlé aussi et des vivres réduits en cendre.
Serigne Modou Sy Mbacké, dignitaire religieux du village et personne sinistrée, a tenté d’expliquer le drame disant que c‘est aux environs de 11h que le feu s’était signalé. Les populations ont tout essayé pour maîtriser les flammes. Mais, par manque d’eau, c’était quasi impossible.
Le village connaît un gros déficit en eau et cela a aggravé la situation. Les vents forts qui soufflaient, ont dopé les flammes. Le forage est à l’arrêt depuis plusieurs années, maintenant. Et rien n’est fait pour le réparer.
Et c’est pourquoi l’enseignant du village a sollicité des autorités administratives, outre de l’aide alimentaire en urgence, à penser à réparer le forage.
Le Quotidien