Aujourd’hui, selon Serigne Abdou Malick Niasse, c’est ce qui explique cette ferveur religieuse qui traduit le savoir de Baye Niass, son dévouement, dans une vie loin d’être tranquille. Car, Cheikh Al islam Ibrahima Baye Niass a été combattu de presque partout, avec des coups bas venant des autorités étatiques de son époque, comme de certains religieux.
« Ils m’ont combattu, ils ont colporté des ragots et crée beaucoup racontars pour ternir mon image. Mais dans ma mission, rien ne m’a perturbé. Du Saint Coran et des enseignements du Saint Prophète (Paix et Salut sur lui), j’avais fait mon arme. A eux, je n’avais fait aucun tort. Et en rêve, le Saint Prophète (Paix et Salut sur lui), s’est montré à moi, pour me désigner comme son ambassadeur », avait écrit Baye Niasse.
Serigne Abdou Malick Niasse ajoute qu’avant l’apparition de Baye Niass, vers la Mauritanie, des fidèles, des guides religieux se dirigeaient à la quête du savoir, c’est quand il a été imbu de cette mission, que cette migration vers le savoir a cessé.
« Ils m’ont combattu, ils ont colporté des ragots et crée beaucoup racontars pour ternir mon image. Mais dans ma mission, rien ne m’a perturbé. Du Saint Coran et des enseignements du Saint Prophète (Paix et Salut sur lui), j’avais fait mon arme. A eux, je n’avais fait aucun tort. Et en rêve, le Saint Prophète (Paix et Salut sur lui), s’est montré à moi, pour me désigner comme son ambassadeur », avait écrit Baye Niasse.
Serigne Abdou Malick Niasse ajoute qu’avant l’apparition de Baye Niass, vers la Mauritanie, des fidèles, des guides religieux se dirigeaient à la quête du savoir, c’est quand il a été imbu de cette mission, que cette migration vers le savoir a cessé.