Des burkinabè ont manifesté hier, devant l’ambassade du Sénégal à Ouagadougou. Ils demandent au Président Bassirou Diomaye Faye et à Ousmane Sonko, de rejoindre l’Alliance des Etats du Sahel (Aes). Ils ont aussi condamné vigoureusement, la marche organisée vendredi dernier par la Coalition des organisations de défense des droits de l’homme et Amnesty International, pour réclamer la libération de l’avocat Guy Hervé Kam, un des cofondateurs du Balai citoyen et dénoncer la répression de la liberté de la presse et d’expression.
Interpellé sur le sujet, Seydi Gassama, directeur exécutif de Amnesty International/Sénégal, répond aux Burkinabè : «C’est vraiment ridicule. Mon message principal est que l’Etat du Sénégal n’a rien à voir avec cette manifestation, qui a eu lieu en dehors des locaux diplomatiques Burkinabè. Il ne saurait être tenu responsable des actions des ONG ni les interdire lorsqu’elles sont conformes aux lois du pays. Ils n’ont pas à mêler Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko à cette affaire».
Bes Bi
Interpellé sur le sujet, Seydi Gassama, directeur exécutif de Amnesty International/Sénégal, répond aux Burkinabè : «C’est vraiment ridicule. Mon message principal est que l’Etat du Sénégal n’a rien à voir avec cette manifestation, qui a eu lieu en dehors des locaux diplomatiques Burkinabè. Il ne saurait être tenu responsable des actions des ONG ni les interdire lorsqu’elles sont conformes aux lois du pays. Ils n’ont pas à mêler Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko à cette affaire».
Bes Bi