La place de Diamalaye-Cambèrene a refusé du monde ce week-end. C’est une marée humaine qui était venue assister à la journée du Saint Coran organisée par l’association socio-culturelle Daara Seydina Limamoulahi. Le thème choisi cette année est la paix. Cette édition a été dédiée à Seydina Issa Rouhou Lahi, fils aîné, premier khalife de Seydina Limamoulahi. Actualité oblige, les derniers événements politiques n’ont pas manqué d’impacter sur les discours. Seydina Issa Laye, fils aîné de l’actuel khalife a d’emblée magnifié le thème de la journée. ‘Le choix du thème se justifie par le fait que notre pays est dans une situation critique. Il faut que les gens sachent que l’Islam est une religion de paix. Personne n’a le droit de laisser le Sénégal brûler’. Il a formulé des prières pour que la paix règne au Sénégal. ’Que Dieu éteigne ce qui a été brûler et nous préserve de ce qui s’apprête à être brûlé’
Auparavant, il a magnifié le rôle que joue cette association composée de plusieurs cellules dont celles de Rufisque, de Yoff, de Dakar, etc. Elle contribue à l’éducation des femmes tout en leur inculquant des valeurs morales. Pour lui, ‘la femme occupe une place importante dans la société. Eduquer une femme c’est former des générations futures qui donneront une bonne éducation à leur famille.’ Avant d’ajouter que Aminata Tall, marraine de la journée, estime que ‘la femme est le fondement d’une société, c’est pourquoi l’enseignement que fait ce Daara est à saluer. Cela traduit aussi l’importance qu’accorde la famille Layène à l’endroit de celle-ci’. Elle a prié pour que la paix règne au Sénégal.
Une forte délégation venue de Touba, dirigée par Sérigne Aliou Mbacké, a pris part à la cérémonie et a été accueillie par des zikr. Serigne Cheikh Mbacké Laye, modérateur, a souligné que ‘la diversité des confréries est une source de compréhension et d’enrichissement mutuels et la famille Layène a la particularité d’avoir des homonymes dans toutes les familles religieuses. Cela montre qu’une confrérie n’est pas une arme mais une exception, la règle générale étant l’Islam’. La journée a été riche en enseignement. Du Tajjwid (récitation du Coran en respectant la ponctuation) aux hadiths en passant par les khassaides de Sérigne Touba, Inalmanayla de Khalifa Ababacar Sy, toutes les familles religieuses s’y retrouvaient. Les talibés layènes ont montré qu’il y a certes plusieurs familles religieuses au Sénégal, mais l’essentiel c’est de vivre la diversité dans l’unité.
Oumar SOW (Stagiaire)
source Walfadjri
Auparavant, il a magnifié le rôle que joue cette association composée de plusieurs cellules dont celles de Rufisque, de Yoff, de Dakar, etc. Elle contribue à l’éducation des femmes tout en leur inculquant des valeurs morales. Pour lui, ‘la femme occupe une place importante dans la société. Eduquer une femme c’est former des générations futures qui donneront une bonne éducation à leur famille.’ Avant d’ajouter que Aminata Tall, marraine de la journée, estime que ‘la femme est le fondement d’une société, c’est pourquoi l’enseignement que fait ce Daara est à saluer. Cela traduit aussi l’importance qu’accorde la famille Layène à l’endroit de celle-ci’. Elle a prié pour que la paix règne au Sénégal.
Une forte délégation venue de Touba, dirigée par Sérigne Aliou Mbacké, a pris part à la cérémonie et a été accueillie par des zikr. Serigne Cheikh Mbacké Laye, modérateur, a souligné que ‘la diversité des confréries est une source de compréhension et d’enrichissement mutuels et la famille Layène a la particularité d’avoir des homonymes dans toutes les familles religieuses. Cela montre qu’une confrérie n’est pas une arme mais une exception, la règle générale étant l’Islam’. La journée a été riche en enseignement. Du Tajjwid (récitation du Coran en respectant la ponctuation) aux hadiths en passant par les khassaides de Sérigne Touba, Inalmanayla de Khalifa Ababacar Sy, toutes les familles religieuses s’y retrouvaient. Les talibés layènes ont montré qu’il y a certes plusieurs familles religieuses au Sénégal, mais l’essentiel c’est de vivre la diversité dans l’unité.
Oumar SOW (Stagiaire)
source Walfadjri