Revenant sur le combat, le pensionnaire de l’école de lutte a continué à fustiger l’attitude de son adversaire, des arbitres ainsi que celle du Cng de lutte à son égard. Aussi, il persiste et signe que l’arbitre a bel et bien sifflé avant sa chute.
« J’ai effectué trois pas derrière les sacs. Le sifflet de l’arbitre signifiait la fin d’une action. On a vu que l’arbitre avait son sifflet à la bouche et prêt à siffler. On devait arrêter et reprendre le combat et non poursuivre l’action. J’estime que les arbitres voulaient en finir avec le combat», se plaint-il. Le lutteur Pikinois reste convaincu que le Cng et les promoteurs qui sont intervenus en plein combat ont exercé une influence sur les arbitres.
« Je n’ai pas compris l’attitude du Cng. Je me pose encore des questions. Il devait se fonder sur le règlement qui est là. Le Cng n’a pas bien agi. Ce n’est pas normal d’intervenir dans un combat alors que les lutteurs disposent de plus de 35 minutes. Ils étaient loisibles aux deux lutteurs de prendre tout le temps », avance-t-il, avant de poursuivre : « Moi j’ai rempli mon contrat mais quand je fais un pas, mon adversaire fait un pas en arrière. Quand je balançais les bras, il baissait lui ses bras. Les arbitres me donnent des avertissements alors que c’est mon adversaire qui reculait. S’il avait accepté de lutter dans les règles de l’art, le combat serait différent. Il voulait m’attirer vers les sacs et j’ai refusé de le suivre. Quand il m’a plaqué, j’avais mon pied sur les sacs. On peut vérifier que l’arbitre sifflait. Mais je rends grâce à Dieu. Nous sommes encore des jeunes».
Il reste convaincu d’avoir lutté comme il se devait tout en réfutant l’idée selon laquelle il aurait pêché dans sa stratégie en adoptant une position attentiste. « Je ne bazarde pas mes combats. C’est mon adversaire qui a refusé le combat. Si Zoss n’avait pas fuit, le combat aurait eu une autre issue », précise t-il, préférant se concentrer sur un autre combat plus cérébrale qui se profile : le baccalauréat.
SOURCE:sudonline.sn
« J’ai effectué trois pas derrière les sacs. Le sifflet de l’arbitre signifiait la fin d’une action. On a vu que l’arbitre avait son sifflet à la bouche et prêt à siffler. On devait arrêter et reprendre le combat et non poursuivre l’action. J’estime que les arbitres voulaient en finir avec le combat», se plaint-il. Le lutteur Pikinois reste convaincu que le Cng et les promoteurs qui sont intervenus en plein combat ont exercé une influence sur les arbitres.
« Je n’ai pas compris l’attitude du Cng. Je me pose encore des questions. Il devait se fonder sur le règlement qui est là. Le Cng n’a pas bien agi. Ce n’est pas normal d’intervenir dans un combat alors que les lutteurs disposent de plus de 35 minutes. Ils étaient loisibles aux deux lutteurs de prendre tout le temps », avance-t-il, avant de poursuivre : « Moi j’ai rempli mon contrat mais quand je fais un pas, mon adversaire fait un pas en arrière. Quand je balançais les bras, il baissait lui ses bras. Les arbitres me donnent des avertissements alors que c’est mon adversaire qui reculait. S’il avait accepté de lutter dans les règles de l’art, le combat serait différent. Il voulait m’attirer vers les sacs et j’ai refusé de le suivre. Quand il m’a plaqué, j’avais mon pied sur les sacs. On peut vérifier que l’arbitre sifflait. Mais je rends grâce à Dieu. Nous sommes encore des jeunes».
Il reste convaincu d’avoir lutté comme il se devait tout en réfutant l’idée selon laquelle il aurait pêché dans sa stratégie en adoptant une position attentiste. « Je ne bazarde pas mes combats. C’est mon adversaire qui a refusé le combat. Si Zoss n’avait pas fuit, le combat aurait eu une autre issue », précise t-il, préférant se concentrer sur un autre combat plus cérébrale qui se profile : le baccalauréat.
SOURCE:sudonline.sn