« Si ce nègre est élu, je l'assassinerai moi-même » La phrase est tombée comme une enclume sur la campagne. C'est ce qu'aurait déclaré Raymond Hunter Geisel, âgée de 22 ans. Il aurait aussi menacé de « mettre une balle dans la tête de Georges W.Bush », l'actuel président des Etats-Unis. Ce dernier point est néanmoins démenti par son avocat. Selon certains témoins, il aurait proféré cette menace lors d'une séance de formation en vue d'obtenir un poste de mandataire de cautions. Cela ce serait passé à la fin du mois de juillet. Ce sont les agents des services secrets chargés de la sécurité du président et des candidats à l'investiture qui ont procédé à l'arrestation de l'homme, dans la semaine du 4 août.
Raymond Hunter Geisel conservait du matériel militaire (armes blanches et munitions) dans sa chambre d'hôtel et dans une voiture. Jeudi 7 août, il comparaissait devant un tribunal qui a, de suite mis l'homme en détention, sans possibilité de libération sous caution. Pour assurer sa défense, « l'homme sur les pas du meurtrier de JFK » a dit souffrir de troubles psychiatriques, sans fournir le nom des établissements où il aurait suivi un éventuel traitement. Il a aussi nié en bloc les accusations en ce qui concerne les menaces contre l'actuel président des Etats-Unis. A noter que Raymond Hunter Geisel avait été jugé l'an dernier pour avoir menacé son frère d'un couteau, selon le New York Times.
Toujours d'après le quotidien américain, Barack Obama serait « protégé comme un président », avec un nombre important d'agents du service secret chargés de sa sécurité, durant le déroulement de la campagne.
Raymond Hunter Geisel conservait du matériel militaire (armes blanches et munitions) dans sa chambre d'hôtel et dans une voiture. Jeudi 7 août, il comparaissait devant un tribunal qui a, de suite mis l'homme en détention, sans possibilité de libération sous caution. Pour assurer sa défense, « l'homme sur les pas du meurtrier de JFK » a dit souffrir de troubles psychiatriques, sans fournir le nom des établissements où il aurait suivi un éventuel traitement. Il a aussi nié en bloc les accusations en ce qui concerne les menaces contre l'actuel président des Etats-Unis. A noter que Raymond Hunter Geisel avait été jugé l'an dernier pour avoir menacé son frère d'un couteau, selon le New York Times.
Toujours d'après le quotidien américain, Barack Obama serait « protégé comme un président », avec un nombre important d'agents du service secret chargés de sa sécurité, durant le déroulement de la campagne.