La tension montait mardi pour Bérénice Bejo, maîtresse de cérémonie du 65e Festival de Cannes qui débute mercredi, qui a jugé l'exercice "assez angoissant", confiant ne pas s'être rendue "compte de l'ampleur de la tâche".
"J'avoue que je ne me rendais pas tellement compte de l'ampleur de la tâche en venant et là, depuis deux jours où on répète tout le temps, j'avoue que s'il y avait un petit avion qui pouvait me ramener chez moi, je rentrerais bien parce que c'est quelque chose d'assez angoissant de se dire qu'on a 1min30 pour ouvrir le festival, dire aux gens qu'ils sont les bienvenus", a-t-elle confié lors d'une conférence de presse.
"Je suis très heureuse d'être là. Quand j'ai répété pour la cérémonie et que je me suis retrouvée sur la scène, il y a forcément tout plein d'émotions qui ressortent", a également livré l'épouse de Michel Hazanavicius, le réalisateur de "The Artist" dans lequel elle tenait le premier rôle féminin et qui a débuté sa carrière à Cannes l'an passé.
SOURCE:7sur7.be
"J'avoue que je ne me rendais pas tellement compte de l'ampleur de la tâche en venant et là, depuis deux jours où on répète tout le temps, j'avoue que s'il y avait un petit avion qui pouvait me ramener chez moi, je rentrerais bien parce que c'est quelque chose d'assez angoissant de se dire qu'on a 1min30 pour ouvrir le festival, dire aux gens qu'ils sont les bienvenus", a-t-elle confié lors d'une conférence de presse.
"Je suis très heureuse d'être là. Quand j'ai répété pour la cérémonie et que je me suis retrouvée sur la scène, il y a forcément tout plein d'émotions qui ressortent", a également livré l'épouse de Michel Hazanavicius, le réalisateur de "The Artist" dans lequel elle tenait le premier rôle féminin et qui a débuté sa carrière à Cannes l'an passé.
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