‘’Il faut noter qu’il y a des insuffisances dans les résultats. Et cela s’explique, en partie, par la rétention des résultats détenus par le personnel de santé’’, a dit le docteur Ndoye, en marge d’un forum consacré à la lutte contre cette maladie. A Kolda, le taux de prévalence du VIH/Sida est de 2,3%, contre 0,7% pour la moyenne nationale, a-t-il signalé.
‘’Je pense que cela, sur le plan éthique, pose problème. Car c’est un danger que des personnes ne puissent pas avoir les résultats de leur dépistage et, par conséquent, ne soient pas traitées’’, a dénoncé Ibra Ndoye.
‘’Il est important qu’on trouve une solution à cette situation. Nous allons saisir les autorités. Je demande aux acteurs de s’engager et de se mobiliser pour lutter contre la pandémie’’ de Sida, a-t-il poursuivi.
Le CNLS a mis à la disposition de la région de Kolda une unité mobile de dépistage du VIH/Sida.
MG/ESF
‘’Je pense que cela, sur le plan éthique, pose problème. Car c’est un danger que des personnes ne puissent pas avoir les résultats de leur dépistage et, par conséquent, ne soient pas traitées’’, a dénoncé Ibra Ndoye.
‘’Il est important qu’on trouve une solution à cette situation. Nous allons saisir les autorités. Je demande aux acteurs de s’engager et de se mobiliser pour lutter contre la pandémie’’ de Sida, a-t-il poursuivi.
Le CNLS a mis à la disposition de la région de Kolda une unité mobile de dépistage du VIH/Sida.
MG/ESF