Pour la coordinatrice des programmes pour le Sif, Anne Catherine Dupré, le projet s’appuie sur 3 piliers que sont, notamment : l’amélioration des conditions de vie, l’enseignement (éducatif) et le renforcement de capacité des communautés. «Notre objectif, a-t-elle dit, est de travailler sur l’inclusion des enfants et des jeunes talibés de manière à ce qu’il y ait une approche communautaire avec les parties prenantes pour que lorsque ce projet sera terminé, qu’il y ait des choses qui restent, de l’existant».
Il s’agit, précise-t-elle, d’oeuvrer pour que la place de ces enfants dans la société soit plus formalisée, afin qu’ils aient une place dans toutes les politiques qui se feront au niveau national, régional et local. «Nous avons au Sénégal, un cadre réglementaire qui est favorable avec le ministère de l’Éducation nationale qui travaille pour faire en sorte qu’il y ait plus de facilités pour les daaras à intégrer les programmes du ministère», a-t-elle toutefois signalé.
Selon Anne Catherine Dupré, il s’agit, du côté du projet "Tawde", de se rapprocher des parties prenantes, notamment la fédération des maîtres coraniques et les autorités. «Mais également et surtout, des maîtres coraniques», insiste-t-elle.
«Et de là, on essaye de comprendre s’ils sont motivés par le projet et s’ils ont envie de s’engager et pouvoir diversifier l’offre pédagogique des enfants, parce que tout cela nous permet d’avoir une base où on sait qu’on va pouvoir faire des choses dans la communauté avec ces daaras là», a fait noter la coordinatrice des programmes du Sif au Sénégal.
Tribune
Il s’agit, précise-t-elle, d’oeuvrer pour que la place de ces enfants dans la société soit plus formalisée, afin qu’ils aient une place dans toutes les politiques qui se feront au niveau national, régional et local. «Nous avons au Sénégal, un cadre réglementaire qui est favorable avec le ministère de l’Éducation nationale qui travaille pour faire en sorte qu’il y ait plus de facilités pour les daaras à intégrer les programmes du ministère», a-t-elle toutefois signalé.
Selon Anne Catherine Dupré, il s’agit, du côté du projet "Tawde", de se rapprocher des parties prenantes, notamment la fédération des maîtres coraniques et les autorités. «Mais également et surtout, des maîtres coraniques», insiste-t-elle.
«Et de là, on essaye de comprendre s’ils sont motivés par le projet et s’ils ont envie de s’engager et pouvoir diversifier l’offre pédagogique des enfants, parce que tout cela nous permet d’avoir une base où on sait qu’on va pouvoir faire des choses dans la communauté avec ces daaras là», a fait noter la coordinatrice des programmes du Sif au Sénégal.
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