La situation que traverse le Sénégal n’a pas laissé indifférent Karim Wade. Il a exprimé son indignation depuis Doha (Qatar) où il est en exil.
«Depuis le lieu de mon exil forcé qui m’est imposé arbitrairement par Macky Sall, j’exprime ma consternation et mon indignation, face à la situation tragique dans laquelle notre pays est plongé par la folie meurtrière d’un régime aux abois. C’est l’ensemble du territoire qui est aujourd’hui secoué par cette tempête que souffle le pouvoir», a souligné Wade-fils dans une déclaration parvenue à Seneweb.
Avant de condamner «avec force cette escalade de la violence d’État que rien, vraiment rien, ne saurait justifier et qui va bien au-delà du cas d’Ousmane Sonko, que je salue et à qui je témoigne toute ma solidarité. J’exige la libération immédiate de tous les détenus politiques».
D'après Seneweb, après s’être incliné devant la mémoire des victimes d’«un régime devenu illégitime», Karim Wade dit qu’il éprouve également de la peine pour tous les blessés souvent graves, aussi bien du côté des manifestants que de celui des forces de l’ordre. Ces dernières, selon lui, «doivent redoubler de vigilance et bien qu’elles soient en service commandé, faire preuve de retenue, quelles que soient les circonstances dans lesquelles elles interviennent».
«Depuis l'élection présidentielle truquée de 2019, Macky Sall n’a qu’une seule idée, une idée fixe : se maintenir au pouvoir par tous les moyens. De l'intimidation de ses alliés à la répression de ses adversaires politiques, il met tout en œuvre pour servir cette forfaiture que notre Constitution exclut et que les Sénégalais réprouvent», a d’emblée souligné le fils de l’ancien chef d’Etat Abdoulaye Wade.
Pour lui, le Sénégal a besoin de gouvernants «soucieux du respect des libertés, de la démocratie et des aspirations légitimes des Sénégalais. Le Sénégal nouveau devra se faire avec des dirigeants mus par la défense de l’intérêt général, capables d’assurer le bon ordre et la sécurité publique, et qui auront pour seule priorité : l’amélioration de la vie quotidienne des Sénégalaises et des Sénégalais».
«Depuis le lieu de mon exil forcé qui m’est imposé arbitrairement par Macky Sall, j’exprime ma consternation et mon indignation, face à la situation tragique dans laquelle notre pays est plongé par la folie meurtrière d’un régime aux abois. C’est l’ensemble du territoire qui est aujourd’hui secoué par cette tempête que souffle le pouvoir», a souligné Wade-fils dans une déclaration parvenue à Seneweb.
Avant de condamner «avec force cette escalade de la violence d’État que rien, vraiment rien, ne saurait justifier et qui va bien au-delà du cas d’Ousmane Sonko, que je salue et à qui je témoigne toute ma solidarité. J’exige la libération immédiate de tous les détenus politiques».
D'après Seneweb, après s’être incliné devant la mémoire des victimes d’«un régime devenu illégitime», Karim Wade dit qu’il éprouve également de la peine pour tous les blessés souvent graves, aussi bien du côté des manifestants que de celui des forces de l’ordre. Ces dernières, selon lui, «doivent redoubler de vigilance et bien qu’elles soient en service commandé, faire preuve de retenue, quelles que soient les circonstances dans lesquelles elles interviennent».
«Depuis l'élection présidentielle truquée de 2019, Macky Sall n’a qu’une seule idée, une idée fixe : se maintenir au pouvoir par tous les moyens. De l'intimidation de ses alliés à la répression de ses adversaires politiques, il met tout en œuvre pour servir cette forfaiture que notre Constitution exclut et que les Sénégalais réprouvent», a d’emblée souligné le fils de l’ancien chef d’Etat Abdoulaye Wade.
Pour lui, le Sénégal a besoin de gouvernants «soucieux du respect des libertés, de la démocratie et des aspirations légitimes des Sénégalais. Le Sénégal nouveau devra se faire avec des dirigeants mus par la défense de l’intérêt général, capables d’assurer le bon ordre et la sécurité publique, et qui auront pour seule priorité : l’amélioration de la vie quotidienne des Sénégalaises et des Sénégalais».