Ce mercredi 18 octobre dans la matinée, six aéroports français ont fait l'objet d'évacuation après des "menaces d'attentats" reçues par mail, a indiqué à l'AFP une source policière. Les aéroports concernés sont Lille, Lyon (Bron), Nantes, Nice, Toulouse, Beauvais, a précisé cette source. Une "levée de doute" est en cours, a-t-elle ajouté.
L'aéroport de Nice a cependant tenu à rassurer. Il "y a eu juste une alerte au colis suspect, quelque chose de fréquent, qui a nécessité la mise en place d'un périmètre de sécurité. Mais tout est rentré dans l'ordre". De son côté, un porte-parole de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a confirmé des "alertes à la bombe" et des "évacuations des aérogares" mercredi matin sur quatre plateformes - Lille, Lyon, Toulouse et Beauvais (au nord de Paris) - sans être en mesure de donner davantage de détails dans l'immédiat.
Selon le tableau de bord en ligne de la DGAC, trois aéroports subissaient des retards importants peu après midi : Toulouse-Blagnac (deux heures à l'arrivée, une heure et demie au départ), Lille-Lesquin (une heure et demie à l'arrivée et au départ) et Beauvais-Tillé (près de deux heures au départ). À l'aéroport de Bron, un aéroport d'affaires, "il y a eu une levée de doutes, le trafic a repris", a précisé la direction du site.
À Lille, "l'aérogare a été évacuée vers 10h30", selon une porte-parole. "Il ne s'agit pas d'un jour de grande affluence", a-t-elle ajouté. Les vols en provenance de Marrakech, Genève et Constantine, qui devaient atterrir entre 11h05 et 11h40, ont été déroutés, est-il précisé sur le site internet de l'aéroport à Lille. "Les services de sécurité de l'État sont sur place", précise l'aéroport sur X (ex-Twitter).
Des menaces qui surviennent dans un contexte tendu.
RTL
L'aéroport de Nice a cependant tenu à rassurer. Il "y a eu juste une alerte au colis suspect, quelque chose de fréquent, qui a nécessité la mise en place d'un périmètre de sécurité. Mais tout est rentré dans l'ordre". De son côté, un porte-parole de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a confirmé des "alertes à la bombe" et des "évacuations des aérogares" mercredi matin sur quatre plateformes - Lille, Lyon, Toulouse et Beauvais (au nord de Paris) - sans être en mesure de donner davantage de détails dans l'immédiat.
Selon le tableau de bord en ligne de la DGAC, trois aéroports subissaient des retards importants peu après midi : Toulouse-Blagnac (deux heures à l'arrivée, une heure et demie au départ), Lille-Lesquin (une heure et demie à l'arrivée et au départ) et Beauvais-Tillé (près de deux heures au départ). À l'aéroport de Bron, un aéroport d'affaires, "il y a eu une levée de doutes, le trafic a repris", a précisé la direction du site.
À Lille, "l'aérogare a été évacuée vers 10h30", selon une porte-parole. "Il ne s'agit pas d'un jour de grande affluence", a-t-elle ajouté. Les vols en provenance de Marrakech, Genève et Constantine, qui devaient atterrir entre 11h05 et 11h40, ont été déroutés, est-il précisé sur le site internet de l'aéroport à Lille. "Les services de sécurité de l'État sont sur place", précise l'aéroport sur X (ex-Twitter).
Des menaces qui surviennent dans un contexte tendu.
RTL