Artiste aussi populaire que secret, Soprano évoque rarement en interview sa vie privée. Le chanteur, de son vrai nom Saïd M'Roumbaba, se confie cette semaine dans les colonnes de L'Express sur son rapport à la religion et à l'islam.
"La religion est ma colonne vertébrale. Elle me maintient en équilibre. L'islam, avant de fixer des interdits, est une invitation à faire le bien", explique le coach de The Voice Kids, qui a appris le chant à l'école coranique.
"Je faisais du gospel musulman", se souvient-il. "Dans la communauté comorienne de Marseille, notre chorale était invitée aux anniversaires, aux mariages, aux remises de diplôme."
"Je ne m'exprime pas sur ce sujet sur les réseaux sociaux"
Soprano préfère rester discret sur le sujet. Il sait à quel point les réseaux sociaux peuvent caricaturer en 280 caractères une pensée:
"Comme sur la famille ou la politique, je ne m'exprime pas sur ce sujet sur les réseaux sociaux, où il n'y a aucune place pour la complexité. Les commentaires tombent vite dans la caricature, la paranoïa ou l'incompréhension", souligne-t-il.
Il préfère s'effacer derrière ses chansons et ses actions: "Mon comportement parle pour moi. 'Ne fais pas aux autres, ce que tu n'aimerais pas que l'on te fasse', me répétait ma mère. J'applique ce principe."
"La religion est ma colonne vertébrale. Elle me maintient en équilibre. L'islam, avant de fixer des interdits, est une invitation à faire le bien", explique le coach de The Voice Kids, qui a appris le chant à l'école coranique.
"Je faisais du gospel musulman", se souvient-il. "Dans la communauté comorienne de Marseille, notre chorale était invitée aux anniversaires, aux mariages, aux remises de diplôme."
"Je ne m'exprime pas sur ce sujet sur les réseaux sociaux"
Soprano préfère rester discret sur le sujet. Il sait à quel point les réseaux sociaux peuvent caricaturer en 280 caractères une pensée:
"Comme sur la famille ou la politique, je ne m'exprime pas sur ce sujet sur les réseaux sociaux, où il n'y a aucune place pour la complexité. Les commentaires tombent vite dans la caricature, la paranoïa ou l'incompréhension", souligne-t-il.
Il préfère s'effacer derrière ses chansons et ses actions: "Mon comportement parle pour moi. 'Ne fais pas aux autres, ce que tu n'aimerais pas que l'on te fasse', me répétait ma mère. J'applique ce principe."