Le chef de l’Etat, par ailleurs, secrétaire général national du Pds a décidé, de sources concordantes, d’introniser, comme bras droit et homme fort, c'est-à-dire n°2 du Pds, Souleymane Ndéné Ndiaye. En privé, Me Wade confesse voir en lui, le libéral pouvant perpétrer le flambeau bleu, après lui. C'est-à-dire, un digne successeur.
C’est en ce sens qu’il a sommé tous les responsables de se ranger derrière celui qu’il considère comme son dauphin, à qui il a donné pleins pouvoirs. En atteste sa dernière sortie, en marge du comité directeur de jeudi dernier, au palais. Sifflant la fin de la récréation, Me Wade met chaque ministre et chaque responsable de son parti devant sa responsabilité. «Je vais être clair, une bonne fois, pour toute, le ministre qui attaquera encore Souleymane Ndéné, je le vire, sur le champ. Le responsable du parti qui le fera aussi, je le suspends», met-il en garde, avant de clore le débat: «Souleymane a toute ma confiance».
Cependant, avec cette posture d’«intouchable », le Premier ministre, aura-t-il, les coudées assez franches pour atteindre son objectif. Le revers de la médaille, est que l’enfant de Guinguinéo n’a pas que des amis dans l’appareil d’Etat et au Pds. De potentiels successeurs du Pape du Sopi, en l’occurrence, Mamadou Seck, Pape Diop, Karim Wade, pour ne citer que ceux là, ne le laisseront pas dérouler paisiblement sa feuille de route, conformément aux vœux du chef.
Ce qui est sûr et certain, c’est que Me Abdoulaye Wade se présentera à la Présidentielle de 2012. Cerise sur le gâteau, le Président de la République a obtenu la garantie d’éminents experts. Motif du séminaire de ce lundi 21 novembre 2011, orienté, exclusivement, sur la validité de sa candidature. En cela, Il a réussi la prouesse de réunir d’éminents juristes Sénégalais et les meilleurs constitutionnalistes du monde issus de l’Europe et des Etats Unis.
A travers ces conclaves, il s’agira pour Me Wade, qui est en train de boucler son budget de plusieurs milliards, pour sa campagne, mais également, de préparer son successeur, en la personne de son Premier ministre, de convaincre les Sénégalais et l’opinion internationale sur la validité de sa candidature pour un troisième mandat. «On a laissé parler les constitutionnalistes de bazar et maintenant, ils vont laisser la place aux vrais constitutionnalistes qui vont dire le droit et montrer au peuple Sénégalais qui me soutient, que ma candidature est plus que valable», a-t-il fait savoir lors du tout dernier comité Directeur libéral.
Car, si Me Wade, tant bien que mal, réussit à ramener l’ordre dans sa maison politique, faisant l’unanimité autour de sa personne -seule constante-, le véritable combat, c’est après la présidentielle de 2012. Ce, au regard des ambitions politiques, allant crescendo, de ses frères et sœurs libéraux, aux dents longues.
Source: rewmi.com
C’est en ce sens qu’il a sommé tous les responsables de se ranger derrière celui qu’il considère comme son dauphin, à qui il a donné pleins pouvoirs. En atteste sa dernière sortie, en marge du comité directeur de jeudi dernier, au palais. Sifflant la fin de la récréation, Me Wade met chaque ministre et chaque responsable de son parti devant sa responsabilité. «Je vais être clair, une bonne fois, pour toute, le ministre qui attaquera encore Souleymane Ndéné, je le vire, sur le champ. Le responsable du parti qui le fera aussi, je le suspends», met-il en garde, avant de clore le débat: «Souleymane a toute ma confiance».
Cependant, avec cette posture d’«intouchable », le Premier ministre, aura-t-il, les coudées assez franches pour atteindre son objectif. Le revers de la médaille, est que l’enfant de Guinguinéo n’a pas que des amis dans l’appareil d’Etat et au Pds. De potentiels successeurs du Pape du Sopi, en l’occurrence, Mamadou Seck, Pape Diop, Karim Wade, pour ne citer que ceux là, ne le laisseront pas dérouler paisiblement sa feuille de route, conformément aux vœux du chef.
Ce qui est sûr et certain, c’est que Me Abdoulaye Wade se présentera à la Présidentielle de 2012. Cerise sur le gâteau, le Président de la République a obtenu la garantie d’éminents experts. Motif du séminaire de ce lundi 21 novembre 2011, orienté, exclusivement, sur la validité de sa candidature. En cela, Il a réussi la prouesse de réunir d’éminents juristes Sénégalais et les meilleurs constitutionnalistes du monde issus de l’Europe et des Etats Unis.
A travers ces conclaves, il s’agira pour Me Wade, qui est en train de boucler son budget de plusieurs milliards, pour sa campagne, mais également, de préparer son successeur, en la personne de son Premier ministre, de convaincre les Sénégalais et l’opinion internationale sur la validité de sa candidature pour un troisième mandat. «On a laissé parler les constitutionnalistes de bazar et maintenant, ils vont laisser la place aux vrais constitutionnalistes qui vont dire le droit et montrer au peuple Sénégalais qui me soutient, que ma candidature est plus que valable», a-t-il fait savoir lors du tout dernier comité Directeur libéral.
Car, si Me Wade, tant bien que mal, réussit à ramener l’ordre dans sa maison politique, faisant l’unanimité autour de sa personne -seule constante-, le véritable combat, c’est après la présidentielle de 2012. Ce, au regard des ambitions politiques, allant crescendo, de ses frères et sœurs libéraux, aux dents longues.
Source: rewmi.com