Une histoire de pratiques occultes serait à la fin de leur compagnonnage, selon Aissatou Seck qui n’était pas initialement licenciée mais qui a préféré partir par solidarité à ces collègues.
«Quand on est revenu de Ziguinchor, on nous a appelé vers 15 heures pour nous dire que nous sommes remerciées par le club pour des problèmes de mystique par rapport au match qu’on a joué contre Jog Sirènes de Dakar. Et sur ce match, si vous regardez les vidéos, vous ne verrez que des joueuses qui vérifiaient les camps. Elles ne faisaient rien d’extraordinaire pour nous. On n’a également jamais vu, nous les coaches, détenir quelque chose de mystique.
A ma grande surprise, on nous a dit qu’ils ne peuvent plus travailler avec nous. Avant ça, j’avais eu à travailler avec le président par rapport à ces incidents-là. Et je lui avais dit que je préférai quitter le club si mes adjointes venaient à être libérées. Parce que je n’allais pas amener cette équipe toute seule avec les prochaines échéances. Ce qu’il m’a expliqué c’est qu’il ne pouvait plus travailler avec mes adjointes. J’ai donc préféré quitter. Il n’y a jamais eu de problèmes négatifs.
C’est juste des problèmes mystiques qui ont conduit à cette situation», se défend la Coordonnatrice du pole féminin et entraineur de l’équipe pro féminine lors d’une conférence de presse pour laver l’honneur du trio.
Aïssatou Seck et ses deux collègues ont également soutenu que c’est un piège orchestré par un de leurs concurrents. Ouléye Diéye, entraineur des gardiennes, aurait par ailleurs souhaité que Dsc mentionne les vraies causes de leur licenciement pour éviter les préjugés qu’elles subissent.
Toujours sous contrat, le trio ne compte toutefois pas ester Dsc en justice malgré le fait qu’elles soient touchées par l’acte de leur ancien employeur
Bes Bi
«Quand on est revenu de Ziguinchor, on nous a appelé vers 15 heures pour nous dire que nous sommes remerciées par le club pour des problèmes de mystique par rapport au match qu’on a joué contre Jog Sirènes de Dakar. Et sur ce match, si vous regardez les vidéos, vous ne verrez que des joueuses qui vérifiaient les camps. Elles ne faisaient rien d’extraordinaire pour nous. On n’a également jamais vu, nous les coaches, détenir quelque chose de mystique.
A ma grande surprise, on nous a dit qu’ils ne peuvent plus travailler avec nous. Avant ça, j’avais eu à travailler avec le président par rapport à ces incidents-là. Et je lui avais dit que je préférai quitter le club si mes adjointes venaient à être libérées. Parce que je n’allais pas amener cette équipe toute seule avec les prochaines échéances. Ce qu’il m’a expliqué c’est qu’il ne pouvait plus travailler avec mes adjointes. J’ai donc préféré quitter. Il n’y a jamais eu de problèmes négatifs.
C’est juste des problèmes mystiques qui ont conduit à cette situation», se défend la Coordonnatrice du pole féminin et entraineur de l’équipe pro féminine lors d’une conférence de presse pour laver l’honneur du trio.
Aïssatou Seck et ses deux collègues ont également soutenu que c’est un piège orchestré par un de leurs concurrents. Ouléye Diéye, entraineur des gardiennes, aurait par ailleurs souhaité que Dsc mentionne les vraies causes de leur licenciement pour éviter les préjugés qu’elles subissent.
Toujours sous contrat, le trio ne compte toutefois pas ester Dsc en justice malgré le fait qu’elles soient touchées par l’acte de leur ancien employeur
Bes Bi