Quarante-deux parlementaires, soit près d’un tiers des membres de la coalition multipartite, sont devenus indépendants. Seize appartiennent au SLPP au pouvoir, dirigé par le Premier ministre. Le clan Rajapaksa a perdu sa courte majorité parlementaire de cinq membres dans une Chambre qui compte 225 membres.
Mahinda Rajapakse, l’homme fort du pays réputé pour sa victoire contre la rébellion des Tigres tamouls, pourrait donc perdre la confiance du Parlement en cas de vote et être forcé de démissionner, rapporte notre correspondant régional, Sébastien Farcis.
Amplification des manifestations
L’exode s’est accru avec la démission mardi matin du nouveau ministre des Finances, Ali Sabry, 24 heures après sa nomination. « Bien que je regrette les désagréments causés, je crois avoir toujours agi dans le meilleur intérêt du pays », a affirmé Ali Sabry dans une déclaration, prônant des « mesures nouvelles, proactives et non conventionnelles » pour résoudre les difficultés du pays.
Mahinda et son frère, le président Gotabaya Rajapaksa, sont de plus en plus isolés. Ceci alors que les manifestations s’amplifient et visent les résidences des députés du gouvernement et du président. L’état d’urgence, décrété la semaine dernière pour réprimer ces protestations, expire jeudi s’il n’est pas étendu par un vote du Parlement.
Mahinda Rajapakse, l’homme fort du pays réputé pour sa victoire contre la rébellion des Tigres tamouls, pourrait donc perdre la confiance du Parlement en cas de vote et être forcé de démissionner, rapporte notre correspondant régional, Sébastien Farcis.
Amplification des manifestations
L’exode s’est accru avec la démission mardi matin du nouveau ministre des Finances, Ali Sabry, 24 heures après sa nomination. « Bien que je regrette les désagréments causés, je crois avoir toujours agi dans le meilleur intérêt du pays », a affirmé Ali Sabry dans une déclaration, prônant des « mesures nouvelles, proactives et non conventionnelles » pour résoudre les difficultés du pays.
Mahinda et son frère, le président Gotabaya Rajapaksa, sont de plus en plus isolés. Ceci alors que les manifestations s’amplifient et visent les résidences des députés du gouvernement et du président. L’état d’urgence, décrété la semaine dernière pour réprimer ces protestations, expire jeudi s’il n’est pas étendu par un vote du Parlement.