Ndella Madior Diouf est dans de sales draps. La patronne de la pouponnière Keur Yeurmandé a été placée en garde-à-vue par la Sureté Urbaine, pour des charges comme homicide volontaire et ouverture d’une pouponnière sans autorisation. En à en croire "DakarActu", elle a été interpellée hier, suite aux accusations de maltraitance visant sa pouponnière. Un bébé portant le nom de Mohamed, est décédé dans des conditions non encore élucidées. Des vidéos partagées au niveau des réseaux sociaux, montraient un bébé en piteux état, qui est mort par la suite certainement à cause d’un manque notoire d’assistance.
Une autre version relatée par "Seneweb", annonce que Ndella Madior Diouf avait refusé de déférer à une convocation de la Sûreté urbaine, suite à une plainte d’une dame qui lui réclame son enfant qu’elle aurait confisqué, pour exiger le paiement des frais de garde de l’enfant. Dans tous les cas, Ndella Madior a été cueillie par les policiers, avant d’être acheminée au Commissariat central. Il faut aussi souligner que rien ne plaide en faveur de Ndella Madior Diouf, puisque les locaux de la pouponnière tels que présentés, sont dans un état de dégradation indigne de recueillir des êtres humains, de surcroît des bébés.
Le droit-de-l’hommiste Seydi Gassama a réclamé de l’Etat l’ouverture d’une enquête sur cette affaire. « Les services compétents de l’Etat doivent se rendre sans délai dans la pouponnière de Ndella Madior Diouf. Si les graves informations données dans la presse par d’anciennes employées de la pouponnière sont avérées, les enfants doivent être pris et confiés aux structures les plus qualifiées », a écrit Seydi Gassama sur son compte X.
Cet appel a été entendu par les autorités puisque, tard dans la soirée, les limiers de la Sureté urbaine accompagnés d’un personnel médical et des ambulances, se sont rendus à la pouponnière pour récupérer les enfants, afin de les amener dans des endroits plus appropriés, précise-t-on dans "Le,Témoin".
Une autre version relatée par "Seneweb", annonce que Ndella Madior Diouf avait refusé de déférer à une convocation de la Sûreté urbaine, suite à une plainte d’une dame qui lui réclame son enfant qu’elle aurait confisqué, pour exiger le paiement des frais de garde de l’enfant. Dans tous les cas, Ndella Madior a été cueillie par les policiers, avant d’être acheminée au Commissariat central. Il faut aussi souligner que rien ne plaide en faveur de Ndella Madior Diouf, puisque les locaux de la pouponnière tels que présentés, sont dans un état de dégradation indigne de recueillir des êtres humains, de surcroît des bébés.
Le droit-de-l’hommiste Seydi Gassama a réclamé de l’Etat l’ouverture d’une enquête sur cette affaire. « Les services compétents de l’Etat doivent se rendre sans délai dans la pouponnière de Ndella Madior Diouf. Si les graves informations données dans la presse par d’anciennes employées de la pouponnière sont avérées, les enfants doivent être pris et confiés aux structures les plus qualifiées », a écrit Seydi Gassama sur son compte X.
Cet appel a été entendu par les autorités puisque, tard dans la soirée, les limiers de la Sureté urbaine accompagnés d’un personnel médical et des ambulances, se sont rendus à la pouponnière pour récupérer les enfants, afin de les amener dans des endroits plus appropriés, précise-t-on dans "Le,Témoin".