Selon le directeur de l’Enseignement et de la réforme de l’université, Abdoul Karim Ndoye, ce classement a été effectué par Webometrics, un démembrement de Shanghaï, spécialisé dans le classement des universités africaines, en se basant sur les critères de Shanghaï qui s’occupe du classement mondial par continent des universités. Le classement montre que l’Ucad gagne 2 places de plus, car, en 2007, elle occupait la 15ème place au niveau africain et la 20ème en 2006. En effet, la liste de Shanghaï s’effectue selon des critères scientifiques tels que les publications, les lauréats, la fréquence de citation des chercheurs et les parutions dans les revues scientifiques.
Comme d’habitude, les 12 premières places de ce top 100 sont occupées par des Universités anglophones sud-africaines (9) et égyptiennes (2 dont l’une est américaine), affirme M. Ndoye.
Commentant le classement, Abdoul Karim Ndoye estime qu’il prouve que « l’Ucad maintient l’excellence, d’autant que d’année en année, elle avance dans le classement ». Ce, poursuit le directeur de l’Enseignement et de la Réforme de l’Ucad, « malgré les multiples contraintes auxquelles elle demeure confrontées ». Entre autres, « les grèves cycliques, la faiblesse du taux d’encadrement, un budget insuffisant, la forte concentration humaine avec comme corollaires l’effet de l’entassement et de la frustration, etc. »
Pour rappel, l’Ucad dont la superficie n’est que de 172 ha, ne compte que 5.200 lits pour 60.086 étudiants, 1200 Pats, 1143 enseignants (taux d’encadrement faible). Son budget avoisine les 20 milliards Fcfa, alors que le seuil tolérable mondial est qu’une université doit au moins loger le tiers (1/3) de son effectif. Donc, Dakar devrait disposer d’au moins 10.000 lits. Pourtant, malgré les 5.200 lits, on dénombre près de 18.000 étudiants dans le campus social.
Comme d’habitude, les 12 premières places de ce top 100 sont occupées par des Universités anglophones sud-africaines (9) et égyptiennes (2 dont l’une est américaine), affirme M. Ndoye.
Commentant le classement, Abdoul Karim Ndoye estime qu’il prouve que « l’Ucad maintient l’excellence, d’autant que d’année en année, elle avance dans le classement ». Ce, poursuit le directeur de l’Enseignement et de la Réforme de l’Ucad, « malgré les multiples contraintes auxquelles elle demeure confrontées ». Entre autres, « les grèves cycliques, la faiblesse du taux d’encadrement, un budget insuffisant, la forte concentration humaine avec comme corollaires l’effet de l’entassement et de la frustration, etc. »
Pour rappel, l’Ucad dont la superficie n’est que de 172 ha, ne compte que 5.200 lits pour 60.086 étudiants, 1200 Pats, 1143 enseignants (taux d’encadrement faible). Son budget avoisine les 20 milliards Fcfa, alors que le seuil tolérable mondial est qu’une université doit au moins loger le tiers (1/3) de son effectif. Donc, Dakar devrait disposer d’au moins 10.000 lits. Pourtant, malgré les 5.200 lits, on dénombre près de 18.000 étudiants dans le campus social.