Les prêches considérés comme partisans de certains imams lors de la Tabaski ne sont pas du gout d’Ibrahima Badiane dit Iran Ndao. Le prêcheur à la Sen tv est d’avis que cette occasion devrait servir à délivrer des messages allant dans le sens d’éduquer les populations, plutôt que de régler des comptes personnelles.
La Tabaski a été l’occasion pour les Sénégalais de constater le degré d’immixtion de la politique dans les affaires religieuses. En effet, des prêches orientés de certains imams renseignent sur leur appartenance ou du moins leur proximité avec le pouvoir ou l’opposition. Ce qui n’est pas du gout de leur compère Iran Ndao, qui affirme que l’objectif du prêche est dévoyé.
«On ne peut pas être devant des centaines de gens parmi qui il y a certains qui ne savent pas comment faire des ablutions ou même la grande ablution, des enfants qui ne respectent pas leurs parents, des hommes qui ne savent pas comment entretenir une femme selon la religion, et parler de choses qui n’ont pas d’importance à leurs yeux. C’est inadmissible et cela n’a pas de sens», fustige-t-il.
Iran Ndao d’ajouter dans les colonnes de L’Observateur, repris par pressafrik.com : «Si on soutient quelqu’un ou qu’on n’est pas en phase avec quelqu’un d’autre, on doit convoquer sa propre rencontre et en parler».
La Tabaski a été l’occasion pour les Sénégalais de constater le degré d’immixtion de la politique dans les affaires religieuses. En effet, des prêches orientés de certains imams renseignent sur leur appartenance ou du moins leur proximité avec le pouvoir ou l’opposition. Ce qui n’est pas du gout de leur compère Iran Ndao, qui affirme que l’objectif du prêche est dévoyé.
«On ne peut pas être devant des centaines de gens parmi qui il y a certains qui ne savent pas comment faire des ablutions ou même la grande ablution, des enfants qui ne respectent pas leurs parents, des hommes qui ne savent pas comment entretenir une femme selon la religion, et parler de choses qui n’ont pas d’importance à leurs yeux. C’est inadmissible et cela n’a pas de sens», fustige-t-il.
Iran Ndao d’ajouter dans les colonnes de L’Observateur, repris par pressafrik.com : «Si on soutient quelqu’un ou qu’on n’est pas en phase avec quelqu’un d’autre, on doit convoquer sa propre rencontre et en parler».