
Le marché devrait être suffisamment approvisionné en moutons pour la prochaine fête de la Tabaski, malgré un contexte difficile, marqué par une mauvaise pluviométrie et une transhumance généralisée dans la zone sylvopastorale, a assuré, jeudi, Ismaïla Sow Junior, coordonnateur technique du Conseil national de la maison des éleveurs (CMDE).
‘’Les conditions sont critiques, car la pluviométrie de l’année dernière n’était pas bonne. Mais en analysant les données de la dernière campagne, des troupeaux et du processus d’approvisionnement, on peut affirmer qu’il y aura suffisamment de moutons pour la Tabaski’’, a-t-il déclaré.
Ismaïla Sow Junior s’adressait à des journalistes, à l’ouverture d’un atelier de formation de deux jours destiné au renforcement des capacités des acteurs du Conseil national de la maison des éleveurs du Sénégal (CMDE), organisé à Louga, dans le cadre du Projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel (PRAPS II).
Il a toutefois souligné ‘’la nécessité de mettre en place des mécanismes durables pour moderniser l’élevage au Sénégal, afin de garantir l’épanouissement des éleveurs et la sécurité de l’approvisionnement national’’. ‘’Il s’agit de proposer des solutions pérennes, qui permettront à l’éleveur de vivre dignement de son métier, tout en répondant à la demande croissante de moutons à chaque fête de la Tabaski’’, a-t-il insisté.
De son côté, l’adjoint au gouverneur de la région de Louga chargé du développement, Papa Leïty Mar, a salué ‘’le renforcement des capacités des acteurs de la filière’’. Il a annoncé ‘’la tenue prochaine de Comités régionaux de développement (CRD), suivis de Comités départementaux (CDD) et locaux de développement (CLD), pour identifier les sites de vente et faciliter la distribution du bétail’’.
‘’Nous sortons de la Korité et nous nous dirigeons vers la Tabaski. Il est donc urgent d’anticiper les préparatifs, pour permettre à la population de célébrer la fête dans de bonnes conditions’’, a-t-il souligné.
Face aux enjeux de l’approvisionnement en moutons, les responsables insistent sur ‘’l’importance d’une transition vers une approche modernisée de l’élevage, qui pourrait transformer les défis liés à la sécheresse et à la transhumance, en opportunités, pour dynamiser le secteur et assurer une Tabaski réussie’’.
APS
‘’Les conditions sont critiques, car la pluviométrie de l’année dernière n’était pas bonne. Mais en analysant les données de la dernière campagne, des troupeaux et du processus d’approvisionnement, on peut affirmer qu’il y aura suffisamment de moutons pour la Tabaski’’, a-t-il déclaré.
Ismaïla Sow Junior s’adressait à des journalistes, à l’ouverture d’un atelier de formation de deux jours destiné au renforcement des capacités des acteurs du Conseil national de la maison des éleveurs du Sénégal (CMDE), organisé à Louga, dans le cadre du Projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel (PRAPS II).
Il a toutefois souligné ‘’la nécessité de mettre en place des mécanismes durables pour moderniser l’élevage au Sénégal, afin de garantir l’épanouissement des éleveurs et la sécurité de l’approvisionnement national’’. ‘’Il s’agit de proposer des solutions pérennes, qui permettront à l’éleveur de vivre dignement de son métier, tout en répondant à la demande croissante de moutons à chaque fête de la Tabaski’’, a-t-il insisté.
De son côté, l’adjoint au gouverneur de la région de Louga chargé du développement, Papa Leïty Mar, a salué ‘’le renforcement des capacités des acteurs de la filière’’. Il a annoncé ‘’la tenue prochaine de Comités régionaux de développement (CRD), suivis de Comités départementaux (CDD) et locaux de développement (CLD), pour identifier les sites de vente et faciliter la distribution du bétail’’.
‘’Nous sortons de la Korité et nous nous dirigeons vers la Tabaski. Il est donc urgent d’anticiper les préparatifs, pour permettre à la population de célébrer la fête dans de bonnes conditions’’, a-t-il souligné.
Face aux enjeux de l’approvisionnement en moutons, les responsables insistent sur ‘’l’importance d’une transition vers une approche modernisée de l’élevage, qui pourrait transformer les défis liés à la sécheresse et à la transhumance, en opportunités, pour dynamiser le secteur et assurer une Tabaski réussie’’.
APS