C’est une histoire rocambolesque que livre le quotidien « L’Observateur » de ce mardi. Cette affaire de mœurs défraie la chronique à Tambacounda, plus précisément dans le quartier Saré Guilèl.
Tout s’est passé à la veille de la fête de Tabaski. Il était 23 heures, quand l’émigré O. Diallo débarque le dimanche 11 août dernier, dans sa maison. Une fois arrivé chez lui, le revenant trouve ses enfants sur un matelas étalé dans la cour. Au moment de franchir sa chambre, il surprend son ami intime, A. Ba dans son lit avec son épouse, A. Diallo, âgée de 25 ans. Le poisson dans le filet, le mari s’attaque subitement à son ami qui prend ses jambes à ses pieds, en laissant ses sandales et sa casquette derrière lui. Furieux, O. Diallo se défoule sur sa femme pour la corriger sévèrement. Pour sauver sa peau, la dame se met à crier en lui révélant sa grossesse de 5 mois, sans doute pour l’amener à l’épargner.
Interpellée sur l’auteur de cette grossesse, la femme indexe A. Ba. Elle affirme que ce dernier le soutenait financièrement. Car, depuis le départ de son époux, elle avait en charge la scolarité de ses deux enfants. Une responsabilité qui lui pesait très lourd. Raison pour laquelle elle s’est retrouvée dans les bras du meilleur ami de son mari. Dès lors, ce dernier commence à lui rendre visite. Mieux, les amants entretenaient des relations sexuelles non protégées. Aussitôt, le mari n’a pas hésité à répudier son épouse. Malgré l’implication du voisinage et de la famille, l’émigré dit niet et campe sur sa position. Et menace de porter plainte.
Présentement, l’épouse a quitté le domicile conjugal en compagnie de ses deux enfants. En ce qui concerne l’amant de la femme qui n’est personne d’autre que le meilleur ami du mari, il est porté disparu dans le quartier.
Tout s’est passé à la veille de la fête de Tabaski. Il était 23 heures, quand l’émigré O. Diallo débarque le dimanche 11 août dernier, dans sa maison. Une fois arrivé chez lui, le revenant trouve ses enfants sur un matelas étalé dans la cour. Au moment de franchir sa chambre, il surprend son ami intime, A. Ba dans son lit avec son épouse, A. Diallo, âgée de 25 ans. Le poisson dans le filet, le mari s’attaque subitement à son ami qui prend ses jambes à ses pieds, en laissant ses sandales et sa casquette derrière lui. Furieux, O. Diallo se défoule sur sa femme pour la corriger sévèrement. Pour sauver sa peau, la dame se met à crier en lui révélant sa grossesse de 5 mois, sans doute pour l’amener à l’épargner.
Interpellée sur l’auteur de cette grossesse, la femme indexe A. Ba. Elle affirme que ce dernier le soutenait financièrement. Car, depuis le départ de son époux, elle avait en charge la scolarité de ses deux enfants. Une responsabilité qui lui pesait très lourd. Raison pour laquelle elle s’est retrouvée dans les bras du meilleur ami de son mari. Dès lors, ce dernier commence à lui rendre visite. Mieux, les amants entretenaient des relations sexuelles non protégées. Aussitôt, le mari n’a pas hésité à répudier son épouse. Malgré l’implication du voisinage et de la famille, l’émigré dit niet et campe sur sa position. Et menace de porter plainte.
Présentement, l’épouse a quitté le domicile conjugal en compagnie de ses deux enfants. En ce qui concerne l’amant de la femme qui n’est personne d’autre que le meilleur ami du mari, il est porté disparu dans le quartier.