La sentence est tombée pour les trois trafiquants de faune arrêtés en fin janvier à Tambacounda, en possession de 2 peaux de léopards, 14 dents d’hippopotame, une arme de guerre de type kalachnikov et ses munitions qui servent à chasser des animaux sauvages tel que l’hippopotame. Comparaissant hier devant la barre du tribunal de Tambacounda, ils ont été reconnus coupables, rapporte "L'As".
Si l’un a écopé d’une peine de 6 mois d’emprisonnement ferme, les deux autres ont écopé respectivement, selon leurs degrés d’implication, de 3 mois de prison ferme et de 3 mois avec sursis. Le juge leur a également infligé de fortes amendes.
D’après les Parcs nationaux et le projet Eagle-Sénégal qui ont participé à leur arrestation, en collaboration avec le Commissariat central de Police de Tambacounda, le léopard est une espèce en voie de disparition traquée pour sa fourrure en Afrique de l’Ouest, le nombre d’hippopotames en Afrique a connu une chute vertigineuse de moins 60% d’individus à la surface du continent ces dix dernières années, pour ses dents en ivoire.
Selon le projet Eagle-Sénégal, ces peines infligées aux trafiquants sont exemplaires et largement saluées par la communauté internationale. Il signale que la dernière peine de prison de plus de 3 mois ferme écopée par des trafiquants, remonterait à avril 2019 au Tribunal d’Instance de Dakar, dans une affaire de trafic de peaux de lions.
Si l’un a écopé d’une peine de 6 mois d’emprisonnement ferme, les deux autres ont écopé respectivement, selon leurs degrés d’implication, de 3 mois de prison ferme et de 3 mois avec sursis. Le juge leur a également infligé de fortes amendes.
D’après les Parcs nationaux et le projet Eagle-Sénégal qui ont participé à leur arrestation, en collaboration avec le Commissariat central de Police de Tambacounda, le léopard est une espèce en voie de disparition traquée pour sa fourrure en Afrique de l’Ouest, le nombre d’hippopotames en Afrique a connu une chute vertigineuse de moins 60% d’individus à la surface du continent ces dix dernières années, pour ses dents en ivoire.
Selon le projet Eagle-Sénégal, ces peines infligées aux trafiquants sont exemplaires et largement saluées par la communauté internationale. Il signale que la dernière peine de prison de plus de 3 mois ferme écopée par des trafiquants, remonterait à avril 2019 au Tribunal d’Instance de Dakar, dans une affaire de trafic de peaux de lions.