Cette situation est liée à l’arrêté pris par le ministre du Commerce en prévision du mois de ramadan, pour prévenir les spéculations sur certains produits de grande consommation tels que le sucre, le savon, le concentré de tomate, l’huile et le lait en poudre’’, a-t-il dit jeudi à la presse.
‘’Nous sommes passés d’une situation plus ou moins alarmante il ya quelques mois à une situation plus stable avec un approvisionnement convenable tant au niveau national qu’au niveau régional’’, a-t-il ajouté au sujet de la distribution du sucre.
Selon lui, l’arrêté du ministre du Commerce a fixé les prix du sucre en morceaux et du sucre cristallisé. Le kilogramme de sucre en morceaux est ainsi vendu à 700 francs à Tambacounda et celui du sucre cristallisé à 650 francs.
Le savon de 210 grammes, pour sa part, est vendu à 125 francs et celui de 350 grammes à 250 francs. Concernant le concentré de tomate, le prix du kilogramme est fixé à 1100 francs, alors que le pot de 2 kilogrammes est vendu à 2500 francs. Pour l’huile en fut, le litre est vendu à 1000 francs tandis que le sachet de l’huile ’’Niinal’’ de 250 ml s’échange contre 275 francs.
‘’Nos services aussi se sont déployés pour faire appliquer et de manière stricte les prix’, a-t-il assuré. Le prix du gaz a ‘’connu une baisse aussi bien au niveau national qu’au niveau régional.
Ainsi, la bouteille de 2,7 kg est vendue à 1500 francs dans les départements de Koumpentoum et Tambacounda.
‘’Pour le moment, nous ne ressentons pas une certaine pression, tension au niveau du marché’’, a-t-il assuré, soulignant que les approvisionnements restent encore corrects pour couvrir les besoins des populations de la région.
Il a rappelé que la distribution du sucre avait connu ‘’des problèmes (…) liés à un arrêt au niveau de la CSS et à une hausse du prix au niveau du marché international’’. Cette situation avait poussé certains commerçants à vouloir augmenter les prix, a-t-il rappelé.
Mais ‘’ces velléités’’ ont été ‘’annihilées par les services du commerce’’ avec l’arrêté qui avait été prix pour réglementer les prix. ‘’Ensuite, nous sommes passés au redémarrage de la CSS et à des importations surtout pour le sucre cristallisé. Ce qui a permis de reconstituer les stocks au niveau du marché intérieur’’, a-t-il poursuivi.
‘’Avec la hausse du prix du sucre sur le marché international, il est de plus en plus rare de recevoir, d’importer ou de faire entrer illégalement du sucre au niveau de la région de Tambacounda, à partir de la Gambie ou de la Mauritanie’’, a-t-il fait remarquer.
‘’Récemment, nous avons reçu du ministre du Commerce une note qui demandait à ce qu’on veille pour que le sucre sénégalais ne sorte pas du pays. Ça prouve quelque part qu’actuellement le sucre sénégalais est beaucoup plus compétitif que le sucre d’ailleurs’’.
BC/ASG
‘’Nous sommes passés d’une situation plus ou moins alarmante il ya quelques mois à une situation plus stable avec un approvisionnement convenable tant au niveau national qu’au niveau régional’’, a-t-il ajouté au sujet de la distribution du sucre.
Selon lui, l’arrêté du ministre du Commerce a fixé les prix du sucre en morceaux et du sucre cristallisé. Le kilogramme de sucre en morceaux est ainsi vendu à 700 francs à Tambacounda et celui du sucre cristallisé à 650 francs.
Le savon de 210 grammes, pour sa part, est vendu à 125 francs et celui de 350 grammes à 250 francs. Concernant le concentré de tomate, le prix du kilogramme est fixé à 1100 francs, alors que le pot de 2 kilogrammes est vendu à 2500 francs. Pour l’huile en fut, le litre est vendu à 1000 francs tandis que le sachet de l’huile ’’Niinal’’ de 250 ml s’échange contre 275 francs.
‘’Nos services aussi se sont déployés pour faire appliquer et de manière stricte les prix’, a-t-il assuré. Le prix du gaz a ‘’connu une baisse aussi bien au niveau national qu’au niveau régional.
Ainsi, la bouteille de 2,7 kg est vendue à 1500 francs dans les départements de Koumpentoum et Tambacounda.
‘’Pour le moment, nous ne ressentons pas une certaine pression, tension au niveau du marché’’, a-t-il assuré, soulignant que les approvisionnements restent encore corrects pour couvrir les besoins des populations de la région.
Il a rappelé que la distribution du sucre avait connu ‘’des problèmes (…) liés à un arrêt au niveau de la CSS et à une hausse du prix au niveau du marché international’’. Cette situation avait poussé certains commerçants à vouloir augmenter les prix, a-t-il rappelé.
Mais ‘’ces velléités’’ ont été ‘’annihilées par les services du commerce’’ avec l’arrêté qui avait été prix pour réglementer les prix. ‘’Ensuite, nous sommes passés au redémarrage de la CSS et à des importations surtout pour le sucre cristallisé. Ce qui a permis de reconstituer les stocks au niveau du marché intérieur’’, a-t-il poursuivi.
‘’Avec la hausse du prix du sucre sur le marché international, il est de plus en plus rare de recevoir, d’importer ou de faire entrer illégalement du sucre au niveau de la région de Tambacounda, à partir de la Gambie ou de la Mauritanie’’, a-t-il fait remarquer.
‘’Récemment, nous avons reçu du ministre du Commerce une note qui demandait à ce qu’on veille pour que le sucre sénégalais ne sorte pas du pays. Ça prouve quelque part qu’actuellement le sucre sénégalais est beaucoup plus compétitif que le sucre d’ailleurs’’.
BC/ASG