Pour la seconde fois, le Parti socialiste s’est réuni, samedi en Secrétariat exécutif national sans Aïssata Tall Sall. Le maire de Podor a encore attiré la curiosité. Cette fois-ci, le secrétaire général du Ps, qui ne voit pas de «cas Aïssata Tall Sall», répond à la question de savoir si l’ex-porte-parole est devenue une simple militante.
Il rétorque : «Vous avez déjà vu une simple militante siéger au Bureau politique ?» Quid de son absence ? «Allez-lui poser la question», ajoute M. Dieng. Pourtant, aux absences antérieures de l’ex-porte-parole, Tanor avait bien des arguments.
«Je l’ai appelée, elle (Aïssata Tall Sall) est à Podor. Et quand elle reviendra, nous discuterons mais aussi avec d’autres camarades avant de leur faire des propositions. C’est cela la démocratie. Elle est absente parce qu’elle est retenue par le vote de son budget à Podor», disait-il au renouvellement du Bureau politique.
Et lors de la session inaugurale du Ps, le maire de Podor avait avancé l’alibi de son invitation à Saint-Louis au moment où ses camarades se réunissaient à la Maison du Parti. «Etre à l’Ugb était pour moi une façon de commémorer Senghor qui était enseignant et ami de Gaston Berger à qui il voulait donner le nom à l’université de Saint-Louis», justifiait-elle.
Les Socialistes semblent avoir d’autres chats à fouetter, en l’occurrence la vie du parti en vue du prochain congrès. Ousmane Tanor Dieng estime qu’il y a lieu de définir le rôle des instances du Comité central et pour ce faire, le Secrétariat national exécutif doit arrêter les grandes orientations avec «sagesse» et «prudence» pour installer les structures et dans ce but faire des arbitrages pour «équilibrer».
Dakar attend donc les rapports des secrétaires généraux menés par les coordinations afin d’«animer» et «massifier» le parti car, selon Tanor, les structures existent, mais fonctionnent de manière irrégulière.
En outre, il a été décidé de mettre l’accent sur le secrétariat à la communication et aux Tics du fait de la nécessité de moderniser le parti et de l’ouvrir à la jeunesse. La direction du parti veut remettre aussi au goût du jour, la formation des cadres pour revenir aux sources et aux vertus de l’enseignement de son fondateur, le Président Senghor.
Le Quotidien
Il rétorque : «Vous avez déjà vu une simple militante siéger au Bureau politique ?» Quid de son absence ? «Allez-lui poser la question», ajoute M. Dieng. Pourtant, aux absences antérieures de l’ex-porte-parole, Tanor avait bien des arguments.
«Je l’ai appelée, elle (Aïssata Tall Sall) est à Podor. Et quand elle reviendra, nous discuterons mais aussi avec d’autres camarades avant de leur faire des propositions. C’est cela la démocratie. Elle est absente parce qu’elle est retenue par le vote de son budget à Podor», disait-il au renouvellement du Bureau politique.
Et lors de la session inaugurale du Ps, le maire de Podor avait avancé l’alibi de son invitation à Saint-Louis au moment où ses camarades se réunissaient à la Maison du Parti. «Etre à l’Ugb était pour moi une façon de commémorer Senghor qui était enseignant et ami de Gaston Berger à qui il voulait donner le nom à l’université de Saint-Louis», justifiait-elle.
Les Socialistes semblent avoir d’autres chats à fouetter, en l’occurrence la vie du parti en vue du prochain congrès. Ousmane Tanor Dieng estime qu’il y a lieu de définir le rôle des instances du Comité central et pour ce faire, le Secrétariat national exécutif doit arrêter les grandes orientations avec «sagesse» et «prudence» pour installer les structures et dans ce but faire des arbitrages pour «équilibrer».
Dakar attend donc les rapports des secrétaires généraux menés par les coordinations afin d’«animer» et «massifier» le parti car, selon Tanor, les structures existent, mais fonctionnent de manière irrégulière.
En outre, il a été décidé de mettre l’accent sur le secrétariat à la communication et aux Tics du fait de la nécessité de moderniser le parti et de l’ouvrir à la jeunesse. La direction du parti veut remettre aussi au goût du jour, la formation des cadres pour revenir aux sources et aux vertus de l’enseignement de son fondateur, le Président Senghor.
Le Quotidien