Le Directeur de CABINET DU Ministre des TIC Fatou Blondin Ndiaye, qui présidait cette rencontre a rappelé le contexte dans lequel s’inscrivait cet atelier « la réunion des Ministres du NEPAD avait permis d’entamer l’étude du protocole par notre pays et avait retenu l’agenda suivant :
Retraduction du Protocole en Français par les services du Ministère des Affaires Etrangères du Sénégal.
L’organisation d’un atelier de partage animé par un expert de la commission e-Afrique du NEPAD pour former la partie Sénégalaise pour une meilleure compréhension et une meilleure appréciation du protocole .
Le partage avec le secteur privé et les parlementaires pour harmoniser les positions sur les Propositions d’amendements du Protocole et la transmission des amendements du Sénégal au NEPAD et enfin l’adoption du protocole par notre pays. ».
Ce suivi ponctuel des activités énumérées permettrait donc sous peu et en définitive l’adoption du protocole par notre pays. Ces plateformes TIC offriraient de nouvelles fenêtres d’opportunités pour les pays africains comme moyens d’accélérer leur croissance économique et leur développement. Aussi parmi les avantages de la promulgation de ce protocole figure les objectifs d’un marché commun au sein de l’Union Africaine qui peuvent énormément bénéficier de la révolution technologique.
L’utilisation des TIC peut apporter des avantages comparatifs sans précédent au Continent africain et la nécessité de promouvoir et de faire participer le secteur privé dans les efforts visant à relever le défi du développement de l’Afrique est impérative.
Convaincu donc que le manque d’infrastructures ,est l’un des principaux obstacles au développement économique et social des pays du NEPAD , ils(Ministres) restent donc convaincu de la nécessité de tirer profit de l’élan généré par les efforts des différentes parties prenantes pour accélérer la réalisation d’infrastructures a large bande dans le but de promouvoir la connectivité a haut débit en Afrique .
Mamadou DIOUF rewmi
Retraduction du Protocole en Français par les services du Ministère des Affaires Etrangères du Sénégal.
L’organisation d’un atelier de partage animé par un expert de la commission e-Afrique du NEPAD pour former la partie Sénégalaise pour une meilleure compréhension et une meilleure appréciation du protocole .
Le partage avec le secteur privé et les parlementaires pour harmoniser les positions sur les Propositions d’amendements du Protocole et la transmission des amendements du Sénégal au NEPAD et enfin l’adoption du protocole par notre pays. ».
Ce suivi ponctuel des activités énumérées permettrait donc sous peu et en définitive l’adoption du protocole par notre pays. Ces plateformes TIC offriraient de nouvelles fenêtres d’opportunités pour les pays africains comme moyens d’accélérer leur croissance économique et leur développement. Aussi parmi les avantages de la promulgation de ce protocole figure les objectifs d’un marché commun au sein de l’Union Africaine qui peuvent énormément bénéficier de la révolution technologique.
L’utilisation des TIC peut apporter des avantages comparatifs sans précédent au Continent africain et la nécessité de promouvoir et de faire participer le secteur privé dans les efforts visant à relever le défi du développement de l’Afrique est impérative.
Convaincu donc que le manque d’infrastructures ,est l’un des principaux obstacles au développement économique et social des pays du NEPAD , ils(Ministres) restent donc convaincu de la nécessité de tirer profit de l’élan généré par les efforts des différentes parties prenantes pour accélérer la réalisation d’infrastructures a large bande dans le but de promouvoir la connectivité a haut débit en Afrique .
Mamadou DIOUF rewmi