C'est un Gaston toujours aussi remonté face à la surenchère de ces derniers mois sur les cachets dans l'arène, et pour lui les principaux fautifs sont les lutteurs. Il appelle à revenir à la raison pour sauver la lutte, car selon lui, il est inadmissible, avec plus de 8 000 lutteurs licenciés, qu'on ne puisse pas mieux répartir...