Rappelant, dans leur texte, le malheureux incident qui s’est déroulé le jeudi 22 janvier 2015, lors de la cérémonie de présentation de vœux organisée par l’Ancp, au secrétaire général de l’Afp, Moustapha Niasse, les responsables progressistes ont encore une fois vivement fustigé le comportement de Malick Gackou et cie. Lesquels ont été accusé d’avoir perturbé la cérémonie en question, en compagnie d’un groupe d’individus « qui ont proféré des injures à l’endroit des cadres, du secrétaire général (Moustapha Niasse-ndlr) et des membres de sa famille qui l’accompagnaient, en présence des invités de marque et partenaires de l’Afp, dont des ministres de la République ». Pour autant, l’instance dirigeante de l’Afp a fait savoir, dans son communiqué, qu’ « au regard de la gravité des fautes lourdes commises et de leur persistance, des responsabilités relevées des uns et des autres, l’ensemble des structures de base se sont réunies et ont demandé au parti d’infliger aux auteurs de ces actes la sanction suprême prévue par les textes : l’exclusion ».
Suffisant pour noyer certainement dans l’œuf toute quelconque idée de conciliation entre Moustapha Niasse et l’ensemble des responsables ciblées dans ces huées contre le président de l’Assemblée nationale, en particulier Malick Gakou qui a été longtemps pressenti comme numéro 2 des Progresssites. Pour rappel, après les incidents du jeudi 22 janvier, l’Afp avait lourdement sanctionné les auteurs des dites huées qui protestaient contre la non candidature de leur parti à la présidentielle de 2017.
En réplique contre les frondeurs, Moustapha Niasse avait coupé pas mal de têtes. Par le biais de l’Alliance nationale des cadres pour le progrès(Ancp) dirigée par le ministre Aliou Sarr, la décision avait été prise conformément à l’article 10 du règlement intérieur, de suspendre pour toutes activités huit cadres progressistes. En l’occurrence, Barouba Guissé, El Hadji Diawara, Amdy Fall Diallo, El Hadji Dame Seck, Ababacar Fall, Moustapha Wone, Saliou Sonar Diouf, Babacar Ndo. Le cas Malick Gackou avait été laissé en suspens. Histoire certainement de sauver les meubles, au cas où…
Sud Quotidien
Suffisant pour noyer certainement dans l’œuf toute quelconque idée de conciliation entre Moustapha Niasse et l’ensemble des responsables ciblées dans ces huées contre le président de l’Assemblée nationale, en particulier Malick Gakou qui a été longtemps pressenti comme numéro 2 des Progresssites. Pour rappel, après les incidents du jeudi 22 janvier, l’Afp avait lourdement sanctionné les auteurs des dites huées qui protestaient contre la non candidature de leur parti à la présidentielle de 2017.
En réplique contre les frondeurs, Moustapha Niasse avait coupé pas mal de têtes. Par le biais de l’Alliance nationale des cadres pour le progrès(Ancp) dirigée par le ministre Aliou Sarr, la décision avait été prise conformément à l’article 10 du règlement intérieur, de suspendre pour toutes activités huit cadres progressistes. En l’occurrence, Barouba Guissé, El Hadji Diawara, Amdy Fall Diallo, El Hadji Dame Seck, Ababacar Fall, Moustapha Wone, Saliou Sonar Diouf, Babacar Ndo. Le cas Malick Gackou avait été laissé en suspens. Histoire certainement de sauver les meubles, au cas où…
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