« Le Sénégal aura assurément un nouveau président de la République, 5e du genre. Que Dieu préserve le Sénégal et bénisse notre cher pays qui poursuit sa laborieuse marche vers la démocratie et le développement », a-t-il soutenu.
Auparavant, le président de Union Citoyenne Bunt-Bi a lancé un appel à la nation toute entière, pour un retour à la paix civile et à la restauration d’une démocratie constructive apaisée. A l’en croire, les tensions sont récurrentes et le risque est grand de voir notre pays abîmé. Les crises perdurent et s’accentuent et une massive partie de la jeunesse n’est ni au travail ni à l’école, mais dans la rue.
« Les campagnes se dépeuplent au profit d’une capitale et des villes qui étouffent, faute d’aménagement efficace et cohérent du territoire. L’économie est au ralenti, nombre d’entreprises sont moribondes et le pouvoir d’achat décline inexorablement. Nos compatriotes sont épuisés », liste-t-il pour le regretter, avant d’exprimer sa solidarité aux populations du village de Ngor. Lequel, à son avis, est un patrimoine historique qu’il faut mieux aménager et préserver à tout prix, ainsi qu’à toutes les populations dépossédées de leurs terres, sans qu’aucune compensation adéquate ne leur soit proposée.
« Le rôle de l’Etat se doit d’être du côté des populations, de défendre l’intérêt général et de préserver les citoyens de toutes conditions avec équité, justice et solidarité sur toute l’étendue du territoire. Ce litige foncier symbolise à lui seul, toutes les crises foncières sur l’ensemble du territoire », souligne-t-il, non sans ajouter qu’une réforme foncière doit être entreprise sans délai.
De même, il estime que les excitations et les débats à la fois saugrenus et insensés sur une hypothétique tentative de troisième candidature ou 3e mandat, sont sans objet. Car, à ses yeux, une troisième candidature est impossible au Sénégal, dans l’état actuel de notre Constitution. « Il n’y a aucune saine interprétation possible ou magie verbale forgée ou juridisme taillé sur mesure, pour convaincre du contraire, car on n’interprète pas ce qui est clair en l’occurrence : « Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs », issu d’un consensus large, robuste, invariable, constant et d’un engagement fort, maintes fois exprimé, répété publiquement, soutenu à plusieurs reprises, jusque-là, par le président de la République sortant, qui achève exactement son deuxième et dernier mandat dans moins de 290 jours », dit-il.
Le Grand Panel
Auparavant, le président de Union Citoyenne Bunt-Bi a lancé un appel à la nation toute entière, pour un retour à la paix civile et à la restauration d’une démocratie constructive apaisée. A l’en croire, les tensions sont récurrentes et le risque est grand de voir notre pays abîmé. Les crises perdurent et s’accentuent et une massive partie de la jeunesse n’est ni au travail ni à l’école, mais dans la rue.
« Les campagnes se dépeuplent au profit d’une capitale et des villes qui étouffent, faute d’aménagement efficace et cohérent du territoire. L’économie est au ralenti, nombre d’entreprises sont moribondes et le pouvoir d’achat décline inexorablement. Nos compatriotes sont épuisés », liste-t-il pour le regretter, avant d’exprimer sa solidarité aux populations du village de Ngor. Lequel, à son avis, est un patrimoine historique qu’il faut mieux aménager et préserver à tout prix, ainsi qu’à toutes les populations dépossédées de leurs terres, sans qu’aucune compensation adéquate ne leur soit proposée.
« Le rôle de l’Etat se doit d’être du côté des populations, de défendre l’intérêt général et de préserver les citoyens de toutes conditions avec équité, justice et solidarité sur toute l’étendue du territoire. Ce litige foncier symbolise à lui seul, toutes les crises foncières sur l’ensemble du territoire », souligne-t-il, non sans ajouter qu’une réforme foncière doit être entreprise sans délai.
De même, il estime que les excitations et les débats à la fois saugrenus et insensés sur une hypothétique tentative de troisième candidature ou 3e mandat, sont sans objet. Car, à ses yeux, une troisième candidature est impossible au Sénégal, dans l’état actuel de notre Constitution. « Il n’y a aucune saine interprétation possible ou magie verbale forgée ou juridisme taillé sur mesure, pour convaincre du contraire, car on n’interprète pas ce qui est clair en l’occurrence : « Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs », issu d’un consensus large, robuste, invariable, constant et d’un engagement fort, maintes fois exprimé, répété publiquement, soutenu à plusieurs reprises, jusque-là, par le président de la République sortant, qui achève exactement son deuxième et dernier mandat dans moins de 290 jours », dit-il.
Le Grand Panel