Mais hélas, les populations de la capitale « ne voient pas tout ce qui est en train de faire pour connecter » le pays, après qu’une bonne partie ait été oubliée durant des années par le régime précédent, regrette-il. Les infrastructures routières comme l’axe « Ndioum-Ourossogui-Bakel, les pistes de productions de 1200 km sur l’ensemble territoire national », sont suffisantes comme exemples à son niveau. Thierno Alassane Sall a également informé au cours de l’émission, que l’Etat doit dégager un montant de 83 milliards de F Cfa pour la construction d'écoles et mettre fin aux milliers d'abris provisoires. Il a poursuivi sa liste en citant la « reprise des chantiers des hôpitaux de Fatick et de Ziguinchor, l’achèvement des routes et autoroutes lancées par l’ancien régime, la construction des trois ponts de Matam, la réhabilitation du pont Emile Badiane de Ziguinchor, et la réalisation de celui de Fanaye ».
Selon Thierno Alassane Sall, la politique volontariste de développement du secteur agricole est en train d'engloutir des milliards, car il a fallu 34 milliards de F Cfa pour l’achat de semences seulement, durant la dernière saison des pluies. Il y’a aussi l’allègement de la dette intérieure avec un montant de 200 milliards de F Cfa débloqué pour permettre aux petites et moyennes entreprises de fonctionner et de souffler, ce qui représente un gage de sauvegarde de l’emploi des jeunes, pense-t-il. S’il faut rappeler les 2.700 milliards de dette globale que le régime de Macky Sall est en train "vaillamment" de payer, il y’a lieu de reconnaître les efforts consentis dans le sens de faire évoluer les choses, dit-il.
Selon Thierno Alassane Sall, la politique volontariste de développement du secteur agricole est en train d'engloutir des milliards, car il a fallu 34 milliards de F Cfa pour l’achat de semences seulement, durant la dernière saison des pluies. Il y’a aussi l’allègement de la dette intérieure avec un montant de 200 milliards de F Cfa débloqué pour permettre aux petites et moyennes entreprises de fonctionner et de souffler, ce qui représente un gage de sauvegarde de l’emploi des jeunes, pense-t-il. S’il faut rappeler les 2.700 milliards de dette globale que le régime de Macky Sall est en train "vaillamment" de payer, il y’a lieu de reconnaître les efforts consentis dans le sens de faire évoluer les choses, dit-il.