Un internaute raconte son séjour en Gambie. Des raisons professionnelles l’ont conduit au pays de Yaya Jammeh : « Pourvu que cela continue moi qui ai vécu 5 ans pour des raisons de travail dans ce pays j’en sais quelque chose. Etre sénégalais et vivre en Gambie est une malédiction. C'est dans ce pays que j’ai été pour la première fois réveillé en pleine nuit dans ma chambre par des policiers pour me demander ma carte de séjour »
Un autre lecteur de Leral.net renchérit : « J'ai eu à faire le passage par Gambie plusieurs fois car ma femme est Koldoise. C’est vrai que c'est dur. Surtout si tu t'aventures à oublier ta carte d'identité, tu risques de payer dans les 7000 francs Cfa avant de sortir de la Gambie. Leur policiers ont un complexe d'infériorité face aux sénégalais. Un jour, en juillet dernier (2010), un policier nous a demandé de descendre de notre « 7 places » pour venir à son poste et montré notre carte d'identité alors que c'est lui qui devrez se déplacer vers nous. Ils sont compliqués. Et à chaque trois mètres tu vois un soldat tenant une kalachnikov c'est tendu las bas. » Cette tension permanente pousse un autre internaute à proposer des voies pour sortir de cette situation : « Il ne reste plus qu'aux autorités de faires des routes et des stations et moins de tracasseries policières. » Des routes pour contourner la Gambie seront certainement suivies de mesures d’accompagnement sans quoi le contournement devient une mission difficile pour ne pas dire impossible : « Au mois de mars avec une température de 45° entre Tamba et Kolda, avec des risques de crevaisons à chaque kilomètre, l'axe Ziguinchor-Tamba semble insoutenable avec son tarif excessif et des bus en mauvais état qui te feront 72h entre Dakar et Ziguinchor.
L’Etat prendra certainement en considérations les plaintes faites par les Sénégalais ayant effectué la traversée du fleuve Gambie ou vécu dans ce pays car la liberté de circuler est un droit pour être humain. Le projet toujours annoncé et jamais concrétisé du pont sur la Gambie mérite une étude minutieuse pour alléger les souffrances des transporteurs et usagers sénégalais.
Leral.net
Un autre lecteur de Leral.net renchérit : « J'ai eu à faire le passage par Gambie plusieurs fois car ma femme est Koldoise. C’est vrai que c'est dur. Surtout si tu t'aventures à oublier ta carte d'identité, tu risques de payer dans les 7000 francs Cfa avant de sortir de la Gambie. Leur policiers ont un complexe d'infériorité face aux sénégalais. Un jour, en juillet dernier (2010), un policier nous a demandé de descendre de notre « 7 places » pour venir à son poste et montré notre carte d'identité alors que c'est lui qui devrez se déplacer vers nous. Ils sont compliqués. Et à chaque trois mètres tu vois un soldat tenant une kalachnikov c'est tendu las bas. » Cette tension permanente pousse un autre internaute à proposer des voies pour sortir de cette situation : « Il ne reste plus qu'aux autorités de faires des routes et des stations et moins de tracasseries policières. » Des routes pour contourner la Gambie seront certainement suivies de mesures d’accompagnement sans quoi le contournement devient une mission difficile pour ne pas dire impossible : « Au mois de mars avec une température de 45° entre Tamba et Kolda, avec des risques de crevaisons à chaque kilomètre, l'axe Ziguinchor-Tamba semble insoutenable avec son tarif excessif et des bus en mauvais état qui te feront 72h entre Dakar et Ziguinchor.
L’Etat prendra certainement en considérations les plaintes faites par les Sénégalais ayant effectué la traversée du fleuve Gambie ou vécu dans ce pays car la liberté de circuler est un droit pour être humain. Le projet toujours annoncé et jamais concrétisé du pont sur la Gambie mérite une étude minutieuse pour alléger les souffrances des transporteurs et usagers sénégalais.
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