Cet incident dévastateur et poignant s'est produit au large de la plage de Niago, au sud-ouest de la Mauritanie, alors que des migrants tentaient de rejoindre les îles Canaries.
Nos trois organisations déplorent la perte de 87 vies humaines, dont une majorité de Sénégalais, 36 secourus et expriment leur vive inquiétude pour la soixantaine de portés disparus, pour lesquels les autorités mauritaniennes poursuivent les recherches.
La pirogue aurait quitté Niodior au Sénégal
Cet énième drame met en lumière les conditions de désespoir qui poussent de nombreux jeunes à risquer leur vie dans des traversées périlleuses, avec l'objectif de trouver de meilleures opportunités ailleurs.
Il y a assurément un besoin impératif de changement de paradigme, en mettant en place une politique de jeunesse plus efficace, capable de faire face à ce sérieux drame qui affecte cruellement le Sénégal.
Nous rappelons que malgré les dispositifs mis en place par Frontex, dans le cadre des accords de coopération entre l’Union Européenne et le Sénégal, les financements, les rencontres et la création de structures comme le Conseil National pour la Jeunesse, le Conseil National pour l’Insertion et l’Emploi de la Jeunesse, ainsi que les nombreuses directions visant à contrer la migration dite irrégulière, les résultats attendus n'ont guère été au rendez-vous.
Nous lançons un appel aux nouvelles autorités sénégalaises, à intensifier leurs efforts pour prévenir de telles tragédies.
Il est certes crucial de renforcer les mécanismes de surveillance et de secours en mer, mais il faut surtout mettre l’accent sur l’amélioration des conditions de vie des populations sénégalaises et la promotion de voies de migration sûres et légales.
L'ADHA, le MET, et MIAMSI-Sénégal réaffirment leur engagement à œuvrer pour la protection des droits des migrants et à sensibiliser les populations aux dangers des migrations irrégulières.
ADHA
MET
MIAMSI-Sénégal
Nos trois organisations déplorent la perte de 87 vies humaines, dont une majorité de Sénégalais, 36 secourus et expriment leur vive inquiétude pour la soixantaine de portés disparus, pour lesquels les autorités mauritaniennes poursuivent les recherches.
La pirogue aurait quitté Niodior au Sénégal
Cet énième drame met en lumière les conditions de désespoir qui poussent de nombreux jeunes à risquer leur vie dans des traversées périlleuses, avec l'objectif de trouver de meilleures opportunités ailleurs.
Il y a assurément un besoin impératif de changement de paradigme, en mettant en place une politique de jeunesse plus efficace, capable de faire face à ce sérieux drame qui affecte cruellement le Sénégal.
Nous rappelons que malgré les dispositifs mis en place par Frontex, dans le cadre des accords de coopération entre l’Union Européenne et le Sénégal, les financements, les rencontres et la création de structures comme le Conseil National pour la Jeunesse, le Conseil National pour l’Insertion et l’Emploi de la Jeunesse, ainsi que les nombreuses directions visant à contrer la migration dite irrégulière, les résultats attendus n'ont guère été au rendez-vous.
Nous lançons un appel aux nouvelles autorités sénégalaises, à intensifier leurs efforts pour prévenir de telles tragédies.
Il est certes crucial de renforcer les mécanismes de surveillance et de secours en mer, mais il faut surtout mettre l’accent sur l’amélioration des conditions de vie des populations sénégalaises et la promotion de voies de migration sûres et légales.
L'ADHA, le MET, et MIAMSI-Sénégal réaffirment leur engagement à œuvrer pour la protection des droits des migrants et à sensibiliser les populations aux dangers des migrations irrégulières.
ADHA
MET
MIAMSI-Sénégal