Le président Wade se retiendrait d’abord de dire ses quatre vérités à son ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang. Car, en dépit de sa plaidoirie en Ethiopie, où se réunissait le sommet de l’Union africaine, pour que les chefs d’États du continent se présentent dans tous les pays du continent qui célèbrent, cette année, le cinquantenaire de leur indépendance, pour le 4 avril prochain et pour l’inauguration de sa statue, qui aura lieu la veille, seuls 22 présidents auraient confirmé leur présence à Dakar. Parmi eux, Yayah Jammeh de la Gambie, Amadou Toulani Touré du Mali, Ali Bongo du Gabon, Faure Eyadema du Togo et Blaise Campaoré du Burkina Faso. Quid du parrain de l’inauguration de sa statue, le président brésilien ?
Le président Wade est dans l’expectative à propos de Lula, comme de Kadhafi, le guide libyen. Ses proches lui auraient fait remarquer, selon nos sources, que c’est son fils Karim, en tant que ministre de la coopération qui n’aurait pas joué sa partition, parce que privilégiant la destination des pays arabes, « naturellement hostiles » aux statues.
Me Wade en veut également à son ministre conseiller chargé des Affaires religieuses et de la communication, Bamba Ndiaye, pour n’avoir pas su convaincre l’ensemble des Khalifes généraux de confréries du pays à participer à l’inauguration de sa statue, ou, à défaut, se faire représenter. Bamba Ndiaye, pourrait d’ailleurs être relevé de ses fonctions ce mois.
Dans la même veine, le président Wade a eu un tête-à-tête avec le porte-parole du Khalife général des Tidjanes, Serigne Abdou Aziz Sy Junior. C’était pour lui souligner que le dialogue politique, dont il est le facilitateur, n’a plus de sens. Ceci, parce que l’opposition a décidé de « chahuter » sa statue. Or, c’était pour empêcher une telle « humiliation » qu’il s’était résolu à parler et à accepter les conditions de l’opposition. Nos sources, proches du palais, soulignent que le président Wade « dort à peine et ne cesse de maugréer pour un oui et pour un non. Il ne veut pas que l’inauguration de sa statue soit un fiasco. Or, il se sent floué, au regard de l’argent qu’il a distribué et des résultats qui lui sont présentés ».
C’est dire que l’argent ne fait pas, forcément, le bonheur. Et le 3 avril, le président Wade aura la preuve de l’utilisation qui a été faite de ses dix-huit milliards votés par l’Hémicycle. Ce qui amène bon nombre de ses proches à soutenir que le président Wade risque de sévir ce mois d’avril, parce que non content et obligé de verser dans des actions d’éclats, pour faire oublier sa statue et contrer l’opposition.
La Redaction xibar.net
Le président Wade est dans l’expectative à propos de Lula, comme de Kadhafi, le guide libyen. Ses proches lui auraient fait remarquer, selon nos sources, que c’est son fils Karim, en tant que ministre de la coopération qui n’aurait pas joué sa partition, parce que privilégiant la destination des pays arabes, « naturellement hostiles » aux statues.
Me Wade en veut également à son ministre conseiller chargé des Affaires religieuses et de la communication, Bamba Ndiaye, pour n’avoir pas su convaincre l’ensemble des Khalifes généraux de confréries du pays à participer à l’inauguration de sa statue, ou, à défaut, se faire représenter. Bamba Ndiaye, pourrait d’ailleurs être relevé de ses fonctions ce mois.
Dans la même veine, le président Wade a eu un tête-à-tête avec le porte-parole du Khalife général des Tidjanes, Serigne Abdou Aziz Sy Junior. C’était pour lui souligner que le dialogue politique, dont il est le facilitateur, n’a plus de sens. Ceci, parce que l’opposition a décidé de « chahuter » sa statue. Or, c’était pour empêcher une telle « humiliation » qu’il s’était résolu à parler et à accepter les conditions de l’opposition. Nos sources, proches du palais, soulignent que le président Wade « dort à peine et ne cesse de maugréer pour un oui et pour un non. Il ne veut pas que l’inauguration de sa statue soit un fiasco. Or, il se sent floué, au regard de l’argent qu’il a distribué et des résultats qui lui sont présentés ».
C’est dire que l’argent ne fait pas, forcément, le bonheur. Et le 3 avril, le président Wade aura la preuve de l’utilisation qui a été faite de ses dix-huit milliards votés par l’Hémicycle. Ce qui amène bon nombre de ses proches à soutenir que le président Wade risque de sévir ce mois d’avril, parce que non content et obligé de verser dans des actions d’éclats, pour faire oublier sa statue et contrer l’opposition.
La Redaction xibar.net