Elle appelle M. Gonzalez pour le prévenir de cette erreur. Mais quelques heures après, on la prévient que l’erreur va au-delà de la somme indiquée. La première erreur a été faite au mois de novembre. D’autres virements ont été aussi faits allant de 15, 2 550 000 millions FCfa, etc. Le montant final s’élève à la rondelette somme de 80 millions FCfa.
Carlos Gonzalez dont le compte est géré par sa femme qui reçoit les SMS d’alerte de virement, n’a jamais été mis au courant par cette dernière. Aïssata Abdoulaye Sow, 31 ans, use à sa guise du compte de son époux sans rendre compte.
Le vendredi 12 février 2021, elle récupère 21 millions du compte de son mari. Le lundi, il ne lui restait que la somme de 700.000 FCfa. Devant la barre, elle explique avoir fait des achats pour la maison, offert de l’argent à certains en guise de social. Mais Madame est aussi accro au jeu. Elle s’est alors rendue au Casino pour parier.
“Mon mari me fait confiance. Il me dit de gérer son argent. Parfois, j’allais au Casino pour jouer. Je suis accro au jeu”, dira Aïssata Abdoulaye Sow.
D’un autre côté, puisque Carlos est resté pendant sept mois sans recevoir de salaire, sa femme a cru que les mirobolantes sommes versées dans le compte de son mari, étaient des arriérés de salaires.
Khoudia Sylla Mbodj reconnaît que “Ecotra traversait un problème de trésorerie. Moi-même, je suis restée plusieurs mois sans salaire”.
Mieux, elle affirme que c’est le comptable qui a fait ces erreurs, en envoyant à plusieurs reprises des sommes à Carlos.
b[“Les rares fois que cela nous est arrivé, c’est la personne qui se manifeste pour nous nous dire qu’elle avait reçu plus”, explique Mme KhoudiaSylla Mbodj.
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Les avocats de la société Ecotra ont tenté tant bien que mal à empêtrer le couple dans les délits de vol et de soustraction frauduleuse.
Toutefois, le parquet a demandé de relaxer purement et simplement les prévenus des fins de poursuite.
b[“Est-ce qu’on peut parler de soustraction frauduleuse ?”, s’est demandé Me Deh avocat du couple, qui assure qu’il n’y a pas de délit. Son confrère, Me Moulaye Kane indique : “C’est une erreur d’incompétence de la part de l’administration de Ecotra”.
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Les avocats de la partie civile ont formulé une demande de liberté provisoire pour le couple, ce qui a été accordé pour la femme, du fait qu’elle a un bébé qu’elle allaite. Malheureusement, le mari reste en prison jusqu’au 9 mars prochain, date à laquelle le tribunal rendra son verdict.
Carlos Gonzalez dont le compte est géré par sa femme qui reçoit les SMS d’alerte de virement, n’a jamais été mis au courant par cette dernière. Aïssata Abdoulaye Sow, 31 ans, use à sa guise du compte de son époux sans rendre compte.
Le vendredi 12 février 2021, elle récupère 21 millions du compte de son mari. Le lundi, il ne lui restait que la somme de 700.000 FCfa. Devant la barre, elle explique avoir fait des achats pour la maison, offert de l’argent à certains en guise de social. Mais Madame est aussi accro au jeu. Elle s’est alors rendue au Casino pour parier.
“Mon mari me fait confiance. Il me dit de gérer son argent. Parfois, j’allais au Casino pour jouer. Je suis accro au jeu”, dira Aïssata Abdoulaye Sow.
D’un autre côté, puisque Carlos est resté pendant sept mois sans recevoir de salaire, sa femme a cru que les mirobolantes sommes versées dans le compte de son mari, étaient des arriérés de salaires.
Khoudia Sylla Mbodj reconnaît que “Ecotra traversait un problème de trésorerie. Moi-même, je suis restée plusieurs mois sans salaire”.
Mieux, elle affirme que c’est le comptable qui a fait ces erreurs, en envoyant à plusieurs reprises des sommes à Carlos.
b[“Les rares fois que cela nous est arrivé, c’est la personne qui se manifeste pour nous nous dire qu’elle avait reçu plus”, explique Mme KhoudiaSylla Mbodj.
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Les avocats de la société Ecotra ont tenté tant bien que mal à empêtrer le couple dans les délits de vol et de soustraction frauduleuse.
Toutefois, le parquet a demandé de relaxer purement et simplement les prévenus des fins de poursuite.
b[“Est-ce qu’on peut parler de soustraction frauduleuse ?”, s’est demandé Me Deh avocat du couple, qui assure qu’il n’y a pas de délit. Son confrère, Me Moulaye Kane indique : “C’est une erreur d’incompétence de la part de l’administration de Ecotra”.
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Les avocats de la partie civile ont formulé une demande de liberté provisoire pour le couple, ce qui a été accordé pour la femme, du fait qu’elle a un bébé qu’elle allaite. Malheureusement, le mari reste en prison jusqu’au 9 mars prochain, date à laquelle le tribunal rendra son verdict.