Il s’agit des jeunes bacheliers qui cheminent ensemble depuis la classe de seconde S2, A. Aw, A. Touré, M. Dièye et M. Dia, la première du centre, à qui on reproche d’avoir créé un groupe ‘WhatshApp’ pour assister à distance leur camarade de classe, M. I. Ba. Interpellé par le président du jury, lors des épreuves du second tour, le mercredi 10 juillet, M.I. Ba qui détenait par devers lui un téléphone portable qu’il avait camouflé, sera remis aux éléments de la brigade de gendarmerie de Kanel qui procéderont à des investigations.
L’exploitation de son téléphone portable a permis de découvrir la présence des corrigés des trois exercices de mathématiques soumis aux candidats provenant d’un groupe ‘WhatshApp’ dont sont membres les quatre bacheliers…
Accusés de fraude, Ils seront arrêtés puis déferrés à la maison d’arrêt correctionnel de Matam. Jugés jeudi, les jeunes lycéens ont, au cours des débats d’audience, reconnu l’existence du groupe ‘WhatshApp’, en déclarant l’avoir créé pour « se donner la main, en traitant des exercices tirés d’une plateforme où sont logés plusieurs épreuves dès le début de l’année ».
Une pratique en soi qui, de leur avis, permet d’appréhender les différents formats de résolution pratique, en mettant à disposition les candidats. « Le mardi, nous nous sommes retrouvés au niveau de l’école élémentaire de Kanel de 9 heures à 13 heures pour traiter des épreuves de sciences physiques tirées de la plateforme, avant de revenir le mercredi matin à 8 heures pour aborder des épreuves de mathématiques et de sciences de la vie », ont déclaré à la barre les quatre bacheliers !
« A quelles fins et pourquoi autant de motivation, pour des candidats qui sont déjà admis et qui doivent fêter leur réussite ? », demande le procureur qui relève que les infractions concourant à la fraude étaient bien établies. Avant de demander à cet égard que la loi soit appliquée.
Relaxés des faits d’accusation de « copie frauduleuse de données informatiques », les inculpés ont été poursuivis par le tribunal pour « fraude à l’examen avec une dispense de peine d’emprisonnement ».
Après la justice, les quatre bacheliers et leur camarade s’en remettent aux décisions qui seront prises par la commission de discipline, une structure habilitée à décider de la suite à réserver sur les cas de fraude relatifs à la détention de téléphones portables dans les salles de classe ainsi que sur d’autres agissements considérés comme relevant de la tricherie
L’exploitation de son téléphone portable a permis de découvrir la présence des corrigés des trois exercices de mathématiques soumis aux candidats provenant d’un groupe ‘WhatshApp’ dont sont membres les quatre bacheliers…
Accusés de fraude, Ils seront arrêtés puis déferrés à la maison d’arrêt correctionnel de Matam. Jugés jeudi, les jeunes lycéens ont, au cours des débats d’audience, reconnu l’existence du groupe ‘WhatshApp’, en déclarant l’avoir créé pour « se donner la main, en traitant des exercices tirés d’une plateforme où sont logés plusieurs épreuves dès le début de l’année ».
Une pratique en soi qui, de leur avis, permet d’appréhender les différents formats de résolution pratique, en mettant à disposition les candidats. « Le mardi, nous nous sommes retrouvés au niveau de l’école élémentaire de Kanel de 9 heures à 13 heures pour traiter des épreuves de sciences physiques tirées de la plateforme, avant de revenir le mercredi matin à 8 heures pour aborder des épreuves de mathématiques et de sciences de la vie », ont déclaré à la barre les quatre bacheliers !
« A quelles fins et pourquoi autant de motivation, pour des candidats qui sont déjà admis et qui doivent fêter leur réussite ? », demande le procureur qui relève que les infractions concourant à la fraude étaient bien établies. Avant de demander à cet égard que la loi soit appliquée.
Relaxés des faits d’accusation de « copie frauduleuse de données informatiques », les inculpés ont été poursuivis par le tribunal pour « fraude à l’examen avec une dispense de peine d’emprisonnement ».
Après la justice, les quatre bacheliers et leur camarade s’en remettent aux décisions qui seront prises par la commission de discipline, une structure habilitée à décider de la suite à réserver sur les cas de fraude relatifs à la détention de téléphones portables dans les salles de classe ainsi que sur d’autres agissements considérés comme relevant de la tricherie