La revue britannique The Banker (Financial Times) a nommé United Bank for Africa (UBA) comme « Banque africaine de l’année ». Deux de ses filiales, au Cameroun et au Sénégal, ont également été récompensées. « Gagner ces trois prix hautement convoités est une grande réussite et cela renforce aussi la détermination collective d’UBA et sa volonté de devenir la banque de choix en Afrique, a souligné dans un communiqué Phillips Oduoza, directeur général de UBA. Nous le dédions à tous nos partenaires à travers le continent et sommes en outre encouragés à travailler plus fort. »
Pour expliquer son choix, The Banker a souligné le spectaculaire redressement financier du groupe bancaire nigérian et l’envolée de son titre en bourse en 2012. UBA a d’une part traversé la crise financière dans le pays sans injection de fonds de la part des autorités monétaires. En 2011, le groupe a transféré une grande partie de ses actifs douteux dans Amcon, la structure de défaisance du secteur bancaire, enregsitrant du même coup une perte financière de 14,3 milliards de nairas (environ 69 millions d’euros) pour le Nigeria uniquement. Depuis, la situation s’est inversée.
D’autres gagnants…
2012 a en effet été marqué par un très net retour à la rentabilité. Sur les neuf premiers mois de 2012, UBA a réalisé des bénéfices nets de 39,1 milliards de nairas (environ 194,4 millions d’euros), cinq fois le montant atteint au cours de la même période de 2011.
The Banker a également souligné le développement panafricain de UBA, qui compte réaliser à moyen-terme la moitié de ses revenus en dehors du Nigeria, contre un quart environ aujourd’hui. UBA est présent dans 19 pays du continent.
Parmi les autres primés par The Banker, citons Attijariwafa Bank (banque marocaine de l’année), Bank of Africa Bénin (banque de l’année au Bénin) ainsi que de nombreuses filiales d’Ecobank (Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée, Niger, Tchad, etc).
Jeuneafrique
Pour expliquer son choix, The Banker a souligné le spectaculaire redressement financier du groupe bancaire nigérian et l’envolée de son titre en bourse en 2012. UBA a d’une part traversé la crise financière dans le pays sans injection de fonds de la part des autorités monétaires. En 2011, le groupe a transféré une grande partie de ses actifs douteux dans Amcon, la structure de défaisance du secteur bancaire, enregsitrant du même coup une perte financière de 14,3 milliards de nairas (environ 69 millions d’euros) pour le Nigeria uniquement. Depuis, la situation s’est inversée.
D’autres gagnants…
2012 a en effet été marqué par un très net retour à la rentabilité. Sur les neuf premiers mois de 2012, UBA a réalisé des bénéfices nets de 39,1 milliards de nairas (environ 194,4 millions d’euros), cinq fois le montant atteint au cours de la même période de 2011.
The Banker a également souligné le développement panafricain de UBA, qui compte réaliser à moyen-terme la moitié de ses revenus en dehors du Nigeria, contre un quart environ aujourd’hui. UBA est présent dans 19 pays du continent.
Parmi les autres primés par The Banker, citons Attijariwafa Bank (banque marocaine de l’année), Bank of Africa Bénin (banque de l’année au Bénin) ainsi que de nombreuses filiales d’Ecobank (Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée, Niger, Tchad, etc).
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