’’La nomination des membres de la Commission, sur proposition des Chefs d’Etat et de Gouvernement, interviendra au plus tard le 1er mai 2021’’, précise le communiqué ayant sanctionné la 22e session ordinaire des chefs d’Etat.
Sous la présidence d’Alassane Ouattara, président de la Côte d’Ivoire, président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’UEMOA, la Conférence s’est réunie en session ordinaire en visioconférence, ce jeudi.
A l’issue des travaux, les chefs d’Etat ont rendu ’’un vibrant hommage’’ au président Ouattara, à la tête de cette instance depuis 5 ans.
Ils ont, à l’unanimité, désigné le président du Faso, Rock-Marc Christian Kaboré, comme nouveau président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement.
Dans le communiqué final, la Conférence déclare noter ’’avec satisfaction, le rapport de la Commission de l’UEMOA sur la situation de la COVID-19 dans l’Union et adopte les principales recommandations relatives à la facilitation de la circulation transfrontalière des personnes et des biens’’.
A cet égard, elle a fixé ‘’à cinq (05) jours, à compter de la date de prélèvement de l’échantillon, la durée de validité des tests de dépistage à l’entrée et au départ des aéroports des Etats membres’’.
La Conférence qui a décidé ‘’de la reconnaissance mutuelle des résultats des tests COVID-19 réalisés par les structures nationales habilitées’’, a fixé à vingt-cinq mille (25.000) FCFA, le coût du test de dépistage de la COVID-19 pour les voyageurs utilisant le transport aérien à compter de mai 2021.
Elle a encouragé ‘’la réouverture progressive des frontières terrestres dans le respect des exigences sanitaires requises’’. En temps opportun, le coût du test de dépistage de la COVID-19 sera fixé cinq mille (5 000) FCfa pour les voyageurs utilisant les voies terrestres.
La conférence a également exhorté ‘’tous les Etats membres, à prendre les dispositions idoines pour la mise en œuvre de stratégies nationales de vaccination des populations cibles contre la maladie à Coronavirus’’.
Les chefs d’Etat ont salué ‘’particulièrement la décision de la BCEAO autorisant les banques et les institutions de microfinance à accorder à leur clientèle affectée par la pandémie et qui le sollicite, un report d’échéances sur les prêts, pour une période de trois mois renouvelables une fois, sans charge d’intérêt, ni frais, ni pénalité de retard’’.
Ils ont salué également ‘’les mesures prises pour réduire les coûts d’utilisation des moyens de paiement digitaux, en vue de promouvoir davantage leur usage et contribuer ainsi à limiter les déplacements et les contacts physiques des populations durant la pandémie’’.
S’agissant de la question sécuritaire, la Conférence a condamné ‘’avec vigueur, les attaques terroristes perpétrées au Burkina Faso, au Mali et au Niger’’ et exprimé ‘’sa solidarité et sa compassion à l’endroit des populations de ces pays frères’’.
Elle a réaffirmé ‘’sa ferme détermination à contrer la progression du terrorisme et à faire face à l’insécurité grandissante dans l’Union’’.
Dans le cadre du financement de la lutte contre l’insécurité du G5 Sahel, la Conférence a salué la contribution des pays membres notamment du Burkina, du Mali, du Niger, du Sénégal à hauteur de 1 milliards FCfa chacun et celle de la Côte d’Ivoire à hauteur de 2 milliards FCfa, selon le communiqué final.
La même source signale que par ailleurs, la Conférence a décidé de l’octroi d’un financement exceptionnel de 2 milliards FCfa, pour soutenir cette initiative.
’’Cela vient en complément des 100 millions USD déjà décaissés pour les trois pays membres de la ligne de front du G5 Sahel’’, souligne t-on.
APS
Sous la présidence d’Alassane Ouattara, président de la Côte d’Ivoire, président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’UEMOA, la Conférence s’est réunie en session ordinaire en visioconférence, ce jeudi.
A l’issue des travaux, les chefs d’Etat ont rendu ’’un vibrant hommage’’ au président Ouattara, à la tête de cette instance depuis 5 ans.
Ils ont, à l’unanimité, désigné le président du Faso, Rock-Marc Christian Kaboré, comme nouveau président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement.
Dans le communiqué final, la Conférence déclare noter ’’avec satisfaction, le rapport de la Commission de l’UEMOA sur la situation de la COVID-19 dans l’Union et adopte les principales recommandations relatives à la facilitation de la circulation transfrontalière des personnes et des biens’’.
A cet égard, elle a fixé ‘’à cinq (05) jours, à compter de la date de prélèvement de l’échantillon, la durée de validité des tests de dépistage à l’entrée et au départ des aéroports des Etats membres’’.
La Conférence qui a décidé ‘’de la reconnaissance mutuelle des résultats des tests COVID-19 réalisés par les structures nationales habilitées’’, a fixé à vingt-cinq mille (25.000) FCFA, le coût du test de dépistage de la COVID-19 pour les voyageurs utilisant le transport aérien à compter de mai 2021.
Elle a encouragé ‘’la réouverture progressive des frontières terrestres dans le respect des exigences sanitaires requises’’. En temps opportun, le coût du test de dépistage de la COVID-19 sera fixé cinq mille (5 000) FCfa pour les voyageurs utilisant les voies terrestres.
La conférence a également exhorté ‘’tous les Etats membres, à prendre les dispositions idoines pour la mise en œuvre de stratégies nationales de vaccination des populations cibles contre la maladie à Coronavirus’’.
Les chefs d’Etat ont salué ‘’particulièrement la décision de la BCEAO autorisant les banques et les institutions de microfinance à accorder à leur clientèle affectée par la pandémie et qui le sollicite, un report d’échéances sur les prêts, pour une période de trois mois renouvelables une fois, sans charge d’intérêt, ni frais, ni pénalité de retard’’.
Ils ont salué également ‘’les mesures prises pour réduire les coûts d’utilisation des moyens de paiement digitaux, en vue de promouvoir davantage leur usage et contribuer ainsi à limiter les déplacements et les contacts physiques des populations durant la pandémie’’.
S’agissant de la question sécuritaire, la Conférence a condamné ‘’avec vigueur, les attaques terroristes perpétrées au Burkina Faso, au Mali et au Niger’’ et exprimé ‘’sa solidarité et sa compassion à l’endroit des populations de ces pays frères’’.
Elle a réaffirmé ‘’sa ferme détermination à contrer la progression du terrorisme et à faire face à l’insécurité grandissante dans l’Union’’.
Dans le cadre du financement de la lutte contre l’insécurité du G5 Sahel, la Conférence a salué la contribution des pays membres notamment du Burkina, du Mali, du Niger, du Sénégal à hauteur de 1 milliards FCfa chacun et celle de la Côte d’Ivoire à hauteur de 2 milliards FCfa, selon le communiqué final.
La même source signale que par ailleurs, la Conférence a décidé de l’octroi d’un financement exceptionnel de 2 milliards FCfa, pour soutenir cette initiative.
’’Cela vient en complément des 100 millions USD déjà décaissés pour les trois pays membres de la ligne de front du G5 Sahel’’, souligne t-on.
APS